Il aimait la montagne, il aimait les gens, il aimait tout simplement la vie !
Lui qui aimait tant la montagne, adorait plus que tout se retrouver en haut des cimes. En cette nuit du 17 avril 2016, Alain-Marc s’en est aller au plus haut de sa belle montagne. De là-haut, la lueur qui brillait si fort dans ses yeux ne s’éteindra jamais.
Je suis a des années-lumière de ta belle plume, alors je ne vais pas faire de grands discours, juste simplement te dire que tu étais un mec bien et que nous allons tous te regretter.
Toutes mes sincères condoléances à son épouse, ses enfants et à sa famille.
Message de la famille :
Alain-Marc nous a quitté ce matin à 6h des suites de sa maladie. Ses obsèques auront lieu mercredi 20 avril à 10h en l’église Notre-Dame-du-Breuil à Albi.
Vous pouvez laisser un commentaire en fin de page pour ceux qui désirent lui rendre un dernier hommage.
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Alain-Marc dans la montée vers le col de la Picade (2460m)
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En route pour le Cabaliros (2234m) il y a tout juste 1 an.
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Le témoignage d’Alain-Marc Delbouys
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Notre bivouac au pied du Cabaliros.
Des instants magiques avec Alain-Marc que seul la montagne peut nous procurer.
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Réveil au petit matin.
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Pour la descente, nous chaussons nos crampons.
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Retour à Cauterets.
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Tu peux maintenant te reposer en paix après avoir lutté de façon admirable et exemplaire. Merci Alain-Marc pour tout ce que tu as fait et pour le bonheur que tu as transmis aux gens à travers tes différents articles rédigés tant à la Dépêche du Midi qu’à la revue Pyrénéenne.
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L’article de la revue Pyrénéenne qu’il m’a merveilleusement écrit: A Pau Mariano est le roi du Topo
Son dernier article sur sa maladie il y a tout juste 5 mois: Comme un air de miracle . . . . .
J’ai eu la chance de pouvoir faire 2 randonnées avec Alain, voir les liens ci-dessous:
- Pic de Sauvegarde (2738m) depuis Hospice de France
- Randonnée Cabaliros (2334m) par Cauterets avec Bivouac
J’ai eu la chance de partager quelques randonnées avec toi, Alain des astazous ou au Montcalm en passant par le neouvielle.
Tu m’as montré une autre façon de profiter de la montagne, moins sportive certes, mais en prenant le temps.
Le temps de s’imprégner de ce que la nature nous donne.
Tu étais en totale symbiose avec ses montagnes, la faune, la flore, les panoramas, jusqu’au traditionnel bain dans un torrent d’une rivière à 10° ou je te revois allongé avec un grand sourire et moi de l’eau jusqu’aux mollets et le visage crispé.
J’irai profiter du mont perdu que tu émettant et je saurai m’arrêter pour contempler au décours d’une ascension à fort dénivelé le spectacle d’une fleur qui resplendit.
Promis …
Gael, ton beauf