Grand Quayrat (3060m) par Espingo
Le Grand Quayrat (3060m) par Espingo depuis les granges d’Astau (1120m)
- Aller/retour: Déniv: +2080m – (2h15+3h30+4h45)= 10h30 – 19 km Niv: Montagnard (F+)
- 1er jour Refuge d’Espingo: +900/-70m 6km (2h15)
- 2em jour Grand-Quayrat/retour: +1180m/-2010m 13km (3h30+4h45)= 8h15
- Date: le 01/02.10.2023 – Luchonnais (Haute-Garonne) – Départ depuis les Granges d’Astau (1120m)
Une magnifique ascension avec un itinéraire réservé pour ceux qui ont le niveau Montagnard. Un long parcours composé de petites escalades de niveau II/II+, de couloirs (petites cheminées), de traversées dans la pierraille (éboulis) et un cheminement de crête avec des vues splendides de part et d’autre.
Le Grand Quayrat se mérite, après avoir effectué quelques ascensions dans ce très beau secteur du Luchonnais, ce sommet est au niveau approche, un des plus beaux de tout le cirque avec un panorama époustouflant au sommet !
Et pour ceux qui voudront s’élever au plus haut de la cime, il vous faudra escalader le monolithe sommital avec un pas d’escalade de niveau 4+ et non du III comme la plupart des topos le mentionnent, avec tout le respect que j’ai pour les grimpeurs et les Montagnards, je ne comprends pas cette cotation ? Peut-être que les prises qui étaient correctes jadis, le sont beaucoup moins aujourd’hui avec des prises lisses et sans adhérence.
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Difficultés:
- Sortie Alpine (itinéraire de haute montagne).
- Cotation F+ – Escalade: II/II+ cotation d’engagement: II
- Aucune difficulté jusqu’au col d’Espingo, la suite s’adresse aux montagnards aguerris ayant l’expérience des sorties Alpines.
- Long parcours depuis les granges d’Astau avec plus de 10h de marche sans les pauses, à faire sur 2 jours de préférence.
- Quelques passages vertigineux où la vigilance est de rigueur avec du gaz sous les pieds, niveau d’escalade facile de niveau II/II+ avec un pas de 4+ au niveau du Monolithe.
- Escalade du Monolithe (3.060m) que l’on n’est pas obligé d’escalader. Niveau d’escalade: 4 supérieur, il n’y a qu’un seul pas à faire, mais pour ceux qui mesure moins de 1,82m et qui ne sont pas spécialement souple comme moi, ne faites surtout pas cette toute petite ascension qui peut se terminer au Urgences ou plus grave que ça ! Il n’y a que 40cm de diamètre en haut de cette pyramide, et donc pour une seule et unique personne à la fois. Il est possible en faisant un genre de lasso (grande boucle) comme les cowboys de s’aider à franchir cette difficulté en prenant 6m de corde.
- Itinéraire à ne faire que par beau temps et sur un terrain sec, sinon il est préférable de renoncer et d’aller faire un autre sommet dans le secteur, moins engagé comme la Tusse de Montarqué, le Perdiguère ou voir les Spijeoles qui comportent moins de difficultés.
Départ depuis les granges d’Astau (1120m), randonnée faite avec Sarah et Georges.
Suivre la piste en direction du Sud.
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L’itinéraire monte progressivement par le sentier du GR10 (Balisage rouge et blanc),
puis en lacet jusqu’au lac d’Oô (1500m), compter 1 heure de marche depuis le départ.
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Laisser à droite l’Auberge et refuge du lac D’Oô et continuer sur le GR10 en s’élevant par la gauche du lac.
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Vers 1920m, continuer tout droit en direction du Sud
en laissant à gauche le GR10 qui monte à la Hourquette des Hounts-Secs vers (Superbagnères).
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L’arrivée au col d’Espingo (1967m) 2h30 depuis les granges d’Astau. Une sente descend à droite vers l’Ouest sur une centaine de mètres pour ceux qui ont prévu de séjourner ou tout simplement s’hydrater au refuge d’Espingo (1950m).
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Nous avions pris le nécessaire pour bivouaquer et dîner au refuge, mais comme il n’y avait que 3 personnes qui dormaient au refuge, nous avons pris la nuitée avec un box à nous, très bien mangé et un gardien très sympathique et serviable.
La vue sur le cirque d’Espingo depuis notre dortoir avec le Perdiguère (3.222m) au fond et le Grand Quayrat (3.050m) qui nous attend pour demain matin.
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L’itinéraire pour demain matin (+1100m pour 3,5km en 3h30 de marche sans les pauses).
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Après avoir bien dormi et pris un bon petit déjeuner, départ à 7h30.
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Revenir au col d’Espingo (1967m) et laisser la sente de droite descendre au lac de Saussat (itinéraire pour le refuge du Portillon) pour prendre la sente de gauche qui monte légèrement en dévers en direction du Sud-Est jusqu’au début du pierrier.
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Début du pierrier vers 2050m d’altitude, le traverser et gravir la pente par la droite, à la limite des éboulis.
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Le soleil commence à illuminer les sommets du Pic de Hougade (2964m) et du Pic d’Espingo (2856m).
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La vue derrière nous depuis le milieu du pierrier avec les reflets du Pic de Hourgade dans le lac d’Espingo.
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Vers 2160m au niveau du balisage bleu (40 minutes depuis le refuge), prendre complètement à droite en direction du Sud.
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Suivre ensuite une sente jusqu’au pied d’une petite barre rocheuse (2195m) qu’il faut contourner et gravir par la gauche (Niv: II) puis s’élever légèrement à droite sur une dalle bien inclinée, par temps sec il n’y a pas de problème, par temps humide y a grand danger, soyez prudents !
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Poursuivre vers le Sud sur la même courbe de niveau jusqu’au début du grand pierrier.
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Toujours un émerveillement de pouvoir profiter de ces premières lueurs du soleil qui magnifient le paysage.
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La vue sur le Cirque d’Espingo
avec à gauche la Tusse de Montarqué (2889m) et à droite le Pic des Spijeoles (3065m).
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Début du grand pierrier vers 2220m, environ 800m de long et +300m de dénivelé.
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Remonter le grand pierrier en direction du Sud-S.E en suivant les cairns, je vous conseille fortement de rester à la limite du pierrier en haut à gauche (nombreux cairns), beaucoup moins incommode que de rester au milieu du pierrier en cherchant les cairns pour vous orienter au milieu des gros blocs.
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Vers 2330m, un petit passage herbeux avant de reprendre les éboulis.
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La vue en contrebas sur le refuge d’Espingo où nous avons passé la nuit.
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Sarah vers la fin du pierrier.
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Passer au pied de la falaise puis remonter le pierrier vers le Sud-Est.
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Georges.
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Il faut passer successivement 2 petites barres rocheuses sans grande difficulté (Niv II).
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Il faut ensuite revenir sur la gauche (Cairn) pour rejoindre le bas d’un couloir.
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Cheminée ou couloir d’une hauteur de 25m (2570m),
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facile sans trop de difficulté (Niv: II) mais attention aux pierres si vous êtes plusieurs.
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La vue depuis le haut de la cheminée.
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Attention: vers 2623m d’altitude,
une vire très expo où il ne faut pas glisser, à 2 endroits la sente ne fait que 20cm de large !
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On prenant de la hauteur les vues deviennent magiques !
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Après une remontée encore dans les éboulis, l’arrivée sur la crête.
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Col sans nom (2770m) 2h35 depuis le refuge d’Espingo.
Col situé entre le Petit et le Grand Quayrat, le col du Quayrat se situe 150m à gauche en direction du Nord.
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Compter une bonne heure pour ceux qui voudraient aller faire le petit Quayrat en aller/retour.
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Georges et Mariano au début de la crête Nord du Grand Quayrat.
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Il ne reste plus qu’à suivre plus ou moins le fil de crête en direction du sommet.
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La vue derrière nous sur le petit Quayrat (2847m) et le lac d’Oô tout en bas à gauche.
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Sarah sur le début de la crête.
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Il faut mettre les mains, rien de difficile avec des pas d’escalade de I ou II.
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La vue sur les Spijeoles (3065m).
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Les 3.000 se dévoilent avec 4 sommets que j’ai gravis sur les 5, seul le Pic des Gourgs Blancs n’a pas été fait alors que nous avions prévu de le faire lors de notre séjour il y a quelques années. Le gardien du refuge du Portillon ou Jean Arlaud, nous avait déconseillé de le faire à cause des nombreuses chutes de pierres dans ce massif, nous étions beaucoup trop nombreux, 11 de mémoire.
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Sarah et Georges dans le final du Grand Quayrat.
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Vers 3030m, juste avant d’atteindre le sommet, il faut redescendre un peu sur la gauche,
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par une vire facile mais très aérienne.
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Dans le cas où il resterait de la neige sur la vire qui est très délicate à négocier, il est préférable de renoncer et de faire demi-tour, ça peut-être l’occasion d’aller faire le petit Quayrat à la place et de revenir à la maison !
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Sarah et Georges dans la partie délicate,
ça reste facile mais y a du gaz et il vaut mieux rester concentré !
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La petite remontée après la vire pour accéder au sommet.
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Le Grand Quayrat (3060m).
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Georges, Sarah et Mariano au sommet du Grand Quayrat (3054m),
3h30 depuis Espingo et 5h45 depuis les granges d’Astau.
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Pour atteindre les 3060m d’altitude, il faut escalader ce Monolithe du Grand Quayrat.
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Cette petite escalade qui est côté III par tous les topos du web n’est pas si facile que ça !
Les prises sont lisses et si vous ne mesurez pas au moins 1m82 ou si vous n’êtes pas assez souple pour mettre votre pied droit sur la partie à droite de la photo, vous aurez toutes les peines du monde pour vous hisser en haut, je m’y suis pris en deux fois avec un saut en arrière pour ma première tentative échouée. Pour le retour, il vous faudra descendre sur les fesses sur 1 mètre et faire un bon de 1m50 dans le vide ! Pour les grimpeurs aucun souci, par contre pour les autres, n’insistez pas pour gravir ce Monolyte, profitez de la vue extraordinaire que nous procure ce beau sommet.
Je ne comprend vraiment pas pourquoi cette cotation est signalée par tous comme du III, alors que manifestement et sans contredire les vrais grimpeurs que je respecte profondément. Pour moi, c’est du 4, voir du 4 supérieur !
Si j’avais su que ce n’était pas du III, j’aurai pris une corde de 6m pour m’aider à grimper plus facilement et pour que Sarah et Georges montent à leur tour.
Bon, rien de grave, maintenant vous savez ce qui vous attend, prenez une corde et si vous ne vous hissez pas sur ce monolithe, ce n’est pas bien grave, la vue est presque identique 6m plus bas.
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Panorama époustouflant depuis le Monolithe, plus de 140 km de sommets, du Balaitous au Montcalm.
(2 panoramas dont 1 annoté en très haute-définition)
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4 photos extraites du Panorama à 360°
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Georges et Sarah, père et fille réunis au sommet du Grand Quayrat.
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Sarah et Mariano.
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La vue sur le lac du Portillon et le refuge Jean Arlaud ou refuge du Portillon.
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3 lacs à nos pieds . . . . . .
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Lac de Saussat (1923m),
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le lac d’Espingo (1882m)
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et le lac d’Oô (1500m).
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Retour par le même itinéraire que la montée après être restés 1h15 au sommet, un régal pour les yeux !
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La vue au loin sur la station de Superbagnières (1800m).
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Nous repassons par la vire avec prudence.
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Sarah dans la vire.
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La difficulté principale est derrière nous, retour au col.
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Toujours des pas d’escalade de niveau II.
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La vue au loin sur le Vignemale (3298m) avec la Munia sur la gauche (3133m).
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Vers le Pic du Midi de Bigorre et l’Arbizon.
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L’arrivée au col (2770m) 55 minutes depuis le sommet.
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La vue plongeante sur les lacs depuis le col.
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L’itinéraire est bien cairné, mais si vous avez une trace Gps, c’est encore mieux et plus sécurisant, à condition qu’elle soit faite sur le terrain.
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Le passage où il faut faire extrêmement attention,
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c’est dans ce genre de passage facile qu’arrivent les accidents, un pas 10cm à gauche et c’est la catastrophe !
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Le couloir d’une hauteur de 25m de ce matin vers 2570m, à descendre cette fois-ci.
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Les vues à la montée comme à la descente sont à tomber !
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Le début du grand pierrier à descendre cette fois-ci à droite de la limite de la raillère.
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4 parapentistes, et . . . . . . .
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un vautour qui s’est invité !
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La petite barre rocheuse de ce matin à descendre et à contourner par la droite.
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De la verdure, ça change des cailloux mais lorsque vous faites des 3.000, c’est le prix à payer !
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Retour au refuge d’Espingo
pour récupérer nos affaires de bivouac et nous ravitailler en eau (3h à 3h15 depuis le sommet).
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Georges au col d’Espingo.
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Retour au lac d’Oô par le GR10.
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Lac d’Oô (1500m) 55 minutes depuis le refuge d’Espingo.
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Et le retour aux granges d’Astau.
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Avec Georges et Sarah, nous avons apprécié la beauté des lieux
et nous allons forcément garder un souvenir indescriptible et marquant de cette très belle ascension.
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La vidéo en HD
Bravo pour cette ascension finale…
« Et pour ceux qui voudront s’élever au plus haut de la cime, il vous faudra escalader le monolithe sommital avec un pas d’escalade de niveau 4+ et non du III comme la plupart des topos le mentionnent, avec tout le respect que j’ai pour les grimpeurs et les Montagnards, je ne comprend pas cette cotation ? Peut-être que les prises qui étaient correctes jadis, le sont beaucoup moins aujourd’hui avec des prises lisses et sans adhérence. »
Bonjour
j’ai peut être un début d’explication. Dans le guide Ollivier (La Bible) il est inscrit à la VN du Quayrat « Le point culminant est formé d’un monolithe assez malaisé à gravir (III). » Les références étaient données par Armengaud et Comet qui étaient des spécialistes et des grimpeurs habitués à manier les cotations. Pour eux indiquer que c’était malaisé était suffisant et je ne pense pas que les prises (ou l’absence de prises) ait changé. Personne donc n’a sans doute osé modifier leur cotation…
Je vous rejoins toutefois sur le fait qu’être grand…comme souvent avantage dans ce genre de passage, et d’ailleurs pour être franc sur 3 ascensions, je n’ai gravi qu’une fois le monolithe…
Dinosaure.
Bonjour Mariano,
Encore une belle sortie de réaliser toute mes félicitations pour ton partage.
Je l’ai fait un peu dans ce genre il y a près 30 ans avec le Pyrénées Club de Toulouse.
Un ami de l’époque du Club la fait aussi l’hiver mais en ski de rando avec un guide qui leurs à fait traverser le lac du Portillon tout glacé.
Çà fait plaisir de revoir ce paysage avec toutes ces belles photos.
Merci Mariano.
Félicitations pour cette super sortie, bien engagée et somptueuse ! merci du partage.
Une petite remarque, à la photo 6 il s’agit à droite de la Tusse de Montarqué à droite et non les Spijolles.
Bonne continuation !
Amitiés montagnardes
Salut Mariano, je vois que tu as gravi avec fierté ce beau Pic des Pyrénées luchonnaises. Tu as bénéficié d’un superbe beau temps. Merci pour ton topo précis et complet. C’est avec plaisir que l’on te retrouve près de chez nous.
Amitiés du MCS MONTAGNE
Coucou Mariano, encore une belle sortie et pour moi, une surprise, à la xième photo, je me suis rendu compte que Sarah était mon ex-collègue de la Tour de Contrôle de Tarbes ! Passe lui le bonjour quand tu la reverras et à bientôt pour toi dans notre secteur (ou dans le tien).
Bonjour Mariano
Superbe le Luchonnais entouré de toute cette concentration de 3000 mètres
dont le Grand Quayrat pas si facile que ça fait partie. Bravo au trio sous ce beau
ciel des Pyrénées.
Amitiés. Francis.
Salut mariano
Très beau reportage photo sur ce coin magnifique mais exigeant des Pyrénées.
Il y a 2 ans j’ai parcouru la crête entre le col inférieur et supérieur de literole en passant par le pic royo et la pointe literole depuis le refuge du portillon.
Le guide avec qui j étais m avait montrer le grand quayrat et souligné la difficulté du dernier pas (falcutatif) pour accéder au sommet😉
Bonjour Mariano
Je vois que vous avez fait des belle randonnées dans de magnifiques endroits, je pense que je partirai dans ces coins la pendants mes prochains vacances dans les Pyrénées
Merci et bonne fin de journée !
Cordialement
Louis Manneau
Bravo pour ce périple ;
je suis revenu des dernières virées dans les Asturies avec mon kiné ; et là ; je viens de visionner ton ascencion du
Grand Queras ; la température devait être estivale ; car sur ta vidéo, on remarque des effluves de chaleur sur le
rocher ; celà est surprenant à 3000 m d’altitude .
Maintenant ; je me consacre à la migration des oiseaux (palombes ; grives ; grues ; milans etc…..et les papillons)
A partir du 15 Octobre je suis dans les cols basques pour les comptages.
Encore BRAVO !!!
Amitiés,
Claude Mahagne
Bonjour Mariano,
Magnifique course en montagne. un très agréable parcours initiatique à la haute montagne. Merci pour la description précise du parcours et belles photos.
Amitiés
Pierre
Bonjour Mariano
Somptueuse rando et somptueux topo ! Bravo à cette belle triplette ! Le luchonnais est un secteur extraordinaire et la météo est vraiment clémente en ce moment !
Même si l’itinéraire est évident, j’ai chargé ta trace pour le Taillon, je me dois de combler cette lacune n’y ayant jamais posé mes « Vibrams »,
Bravo à vous trois et merci pour ce superbe topo !!!
Amitiés
Serge