Parcours en boucle des crêtes d’Arroyeras (2573m) et Culivillas (2528m)

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Le parking à l’entrée de la route menant à la station étant complet,

j’ai stationné au parking 200m au-dessus avec une vue au loin sur les 2 premiers sommets du circuit.

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Corral de las Mulas (1630m), suivre la route de la station de ski, compter environ 30mn pour y accéder en suivant la route. La barrière est ouverte uniquement en hiver, lorsque la station de ski d’Anayet est en service.

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Sortie faite en solo.

La vue sur les 3 sommets de cette jolie boucle: Pico Arroyeras (2573m), Pico Culivillas (2528m) et Pico Royo (2431m).

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Zoom sur le final du Pico Royo (2431m).

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L’arrivée à la station de ski d’Anayet/Formigal (30 minutes depuis le départ).

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Depuis la station vers 1760m d’altitude,

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s’orienter un peu à droite en suivant le GR11, rive droite du barranco de Culivillas.

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Aujourd’hui, c’est l’Utra 100km de Canfranc avec un dénivelé de folie de +8.848m !

Si j’ai fait cette boucle spécialement aujourd’hui et qui était dans mes tablettes depuis la dernière fois que j’avais parcouru les crêtes de la partie droite du cirque d’Anayet, c’était pour encourager Françoise et Franck (son cousin) au passage du col Royo.

2 trailers m’ont dépassé, le premier sur cette photo, il était troisième avant de terminer 7em de l’Ulra 100K en 22h34,

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et Alvarez Xiril qui m’a doublé en quatrième position

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et qui lui, a terminé 5em de la course avec un temps de 22h15 !

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Après avoir vu passé ces 2 avions,

retour à une marche beaucoup plus tranquille en suivant le GR11 du vallon de Culivillas.

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L’arrivée au plateau d’Anayet, vers 2225m d’altitude (compter 1h45 depuis le départ).

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Depuis l’arrivée au col du plateau d’Anayet, s’orienter plein Sud en direction du col d’Arroyeras.

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Il était possible bien avant d’arriver au plateau, vers 2120m d’altitude, de bifurquer à gauche pour remonter un petit vallon encaissé jusqu’à 2300m (à proximité du col), mais franchement il est beaucoup plus intéressant de grimper au plateau et d’avoir une vue unique de toute beauté sur le Pic d’Anayet, son lac et le Pic du Midi d’Ossau.

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Des vues toujours aussi belles à chaque fois que je viens dans ce secteur !

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Pic d’Anayet (2545m) et le Pic du Midi d’Ossau (2884m).

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La vue sur les crêtes venant du Vertice d’Anayet (2559m) qui ne sont pas difficiles (pour niveau randonneur).

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L’arrivée au col d’Arroyeras ou Arroyetas (2444m) avec la vue sur la Pala de IP (2783m) 2h30 depuis le départ.

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Depuis le col d’Arroyeras,

suivre plus au moins le fil de crête jusqu’au sommet sans difficulté par temps sec.

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Pic d’Arroyeras (2573m) ou appelé aussi par les aragonais el Pico de Arroyetas.

(20 minutes depuis le col et 2h45 depuis le départ)

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Les 6 Panoramas à 360° dont 3 en très haute définition (Annoté):

La vue sur le plateau d’Anayet avec en toile de fond, le Pic du Midi d’Ossau (2884m).

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La vue côté Est en direction des 3.000 Aragonais avec au loin le massif du Mont Perdu (3.355m).

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Vers le Bisaurin (2669m) et le castillo de Acher (2390m).

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Le Pic d’Anayet (2545m).

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Le passage de la chaîne et la cheminée qui accède au sommet du Pic d’Anayet.

(4 grimpeurs sont dans la face Sud-Est du Pic)

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Vers le Jean-Pierre.

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Ibone del Anayet (2237m).

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Sa majesté le Pic du Midi d’Ossau (2.884m).

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La vue vers le parking de la station d’hiver d’Anayet/Formigal.

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Après 10 minutes au sommet,

la suite de la boucle avec le deuxième sommet de la journée, le Pic de Culivillas.

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Autant le 1er Pic était relativement facile et sans danger pour ceux qui ont le niveau randonneur, le deuxième sommet de la boucle est réservé exclusivement à ceux qui ont le niveau Montagnard et qui ont l’habitude d’évoluer sur des crêtes aériennes et sachant bien lire le terrain pour ne pas se mettre en danger.

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Ce qui me fascine toujours lorsque je parcours des crêtes comme celles-ci, c’est que j’ai l’impression de ne pas pouvoir continuer sur la crête et qu’il faudra la quitter à un moment ou à un autre . . . . .

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Et Non, ça passe bien !

Évidement, il faut utiliser un peu les mains pour progresser mais rien de difficile, cotation F+ Niv escalade: II voir II+ (engagement III).

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Une harde d’Isards au loin,

j’ai juste eu le temps de sortir mon 200mm qu’ils m’avaient déjà repéré !

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La suite, bien suivre le fil de crête . . . . .

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Cette crête est magnifique, je me régale !

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Le Pic de Culivillas qui peut se gravir en aller/retour pour ceux qui ont le niveau randonneur

par son versant Sud-Est depuis le col Royo (retour par le même itinéraire).

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Par ce versant, les pentes herbeuses sont très raides,

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à ne faire que par beau temps et pour ceux qui ont le niveau Montagnard, la glissade est interdite !

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La montée se fait par des petites terrasses herbeuses qui contournent les petites barres rocheuses.

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J’insiste sur le fait que cette montée qui s’effectue en 25 petites minutes et qui n’est pas difficile,

doit être ascensionnée lorsque le terrain est parfaitement sec !

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Après, en laissant les difficultés de côté,

les vues derrière moi sont vraiment spectaculaires et d’une beauté sans fin !

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Le versant Est d’Arroyeras est incroyablement beau !

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La vue lointaine sur le Pic d’Anayet (2545m).

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Compter 25 minutes pour vous hisser en haut du Pic de Culivillas depuis le pied de sa cime.

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Sommet du Pic de Culivillas (2528m) 1h00 depuis le Pic Arroyeras et 3h45 depuis le départ.

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Sélectionner le Pic Culivillas depuis le menu déroulant en bas à gauche ou cliquer sur les étoiles animées pour basculer entre les sommets:

Que dire, magnifique !

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Panorama vers les crêtes de la Tronquera avec de gauche à droite: la Punta Escarra, Pala de IP et la Moleta.

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Il est midi à ma montre, c’est justement à cette- heure là,

que Françoise et Franck passent au contrôle de la Moleta, après 13h47 de course !

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Il y a du monde sur le sommet du Vertice d’Anayet (2559m).

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Idem au Pic d’Anayet (2545m).

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Le lac d’Anayet.

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Vers le Balaïtous (3144m).

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Le col du Pourtalet (1780m).

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Zoom sur les 3000 de Gavarnie/Mont Perdu.

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Le massif du Balaïtous (3.144m).

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Le Pic du Palas (2974m) avec devant lui, le Grand Pic d’Arriel (2824m).

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Pour le troisième et dernier sommet de cette trilogie, descendre le versant Sud-Est jusqu’au col Royo.

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Pas de difficulté jusqu’au col Royo, si ce n’est qu’il ne faut pas essayer de gravir ce petit sommet.

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Il faut le contourner par la gauche et en faisant attention de ne pas glisser sur ce terrain pentu !

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Récupérer au plus vite la petite vire dans la dalle lisse pour être en sécurité.

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C’est la seule difficulté qu’il y a entre le Culivillas et le col Royo.

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La vue derrière moi sur les 2 premiers sommets qui peuvent se faire par ceux qui ont le niveau randonneur, mais uniquement en aller/retour et sans jamais faire la jonction entre les deux (réservés aux Montagnards).

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Petite lucarne sur le Pic d’Anayet (2545m).

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L’itinéraire de montée au Pic Royo depuis le col du même nom.

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Col Royo (2372m) 20 minutes depuis le Pic de Culivillas.

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Je profite que Françoise et Franck ne soient pas encore passés au point de contrôle de las Negras,

pour grimper sur le troisième sommet de cette magnifique boucle.

Depuis le col, suivre en dévers la sente dans la pierraille jusqu’au pied de la cheminée.

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Deux possibilités pour gravir le Pico Royo, soit par le versant Nord que j’ai pris à la descente

ou par cette cheminée d’une hauteur de 20m que j’ai prise à la montée.

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Le haut de la cheminée qui n’est pas très difficile (Niv: II) avec une petite lucarne sur la Collarada.

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Sommet du Pico Royo (2431m) 4h30 depuis le départ sans les pauses.

45 minutes depuis le Culivillas dont 15 minutes depuis le col.

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Sélectionner le panorama du Pico Royo depuis le menu déroulant en bas à gauche:

La belle crête que je viens de parcourir, un régal !

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Le Pic de Culivillas (2528m) qui n’est pas difficile en passant par le col Royo.

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Le Pico Arroyeras (2573m).

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Vers le Jean-Pierre.

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Du Palas (2974m) au Balaïtous (3144m).

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Les Pics d’Enfer (3082m).

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La Punta Escarra (2751m).

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A ne faire que par temps sec et pour montagnards aguerris, rocher pas très bon !

Voir le topo ici pour ceux qui voudront le gravir un jour

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La Collarada (2886m).

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Zoom sur le village de Formigal.

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La station de ski d’Anayet/Formigal pour l’accueil des trailers (ravitaillement).

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Las vaches, chevaux et brebis avec cette chaleur ne restent jamais très loin des points d’eau.

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Ayant peur de ne pas croiser Françoise et Franck, je ne reste que quelques minutes au sommet,

juste le temps de faire 2 séries de 30 photos sur 360° pour le Panorama.

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Pour la descente, je ne suis pas redescendu par la cheminée mais par le versant Nord qui n’est pas évident, les pentes sont très raides et il a fallu que je cherche le bon passage (Cairn), redescendre par la cheminée si vous avez un doute.

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Retour au col Royo vers 13h30 pour casser la croûte et espérer voir passer nos deux trailers !

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Étant renseigné par le couple de contrôleurs au col Royo que Françoise et Franck n’étaient pas encore passés au contrôle de Las Negras, j’ai vraiment pris mon temps pour apprécier mes Calamars. Ceux qui me connaissent savent que j’adore les calamars à l’encre noire quand je suis en montagne !

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Ils vont passer vers 16h10 au col Royo, soit 18h10 de course depuis le départ !

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Hyper content de les voir avec le sourire.

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Pour le topo,

il vous suffit de descendre en suivant le vallon sans difficulté jusqu’au bâtiment de la station Anayet/Formigal.

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J’ai accompagné Françoise et Franck jusqu’au ravitaillement de la station d’Anayet/Formigal.

Ils ont été rattrapés par la barrière horaire au terme de 53 km et 5.000m de dénivelé, et vu la difficulté restante, il aurait été imprudent pour eux avec la fatigue physique de poursuivre de nuit ce parcours. Après avoir pris le départ la veille à 22 heures, au départ de Canfranc Estacion pour un trail de 100 km et surtout les 8.848m de dénivelé (l’Everest !) dont 70 % du parcours est à plus de 2000m d’altitude. Une course aussi époustouflante de beauté que d’une difficulté incroyable. Aucune femme ne l’a terminée (y compris Françoise) et 32 ont terminé la course sur les 145 partants soit 78% d’abandon. Françoise s’est classée 7em féminine et Franck (Non classé). Bravo à eux deux, des champions !

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Retour à la voiture par la route qui descend à la A136.

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Retour à la voiture après 1h30 de marche depuis le Pico Royo.

Quelle belle boucle, extraordinaire de beauté !