Départ de cette randonnée depuis le col de Spandelles (1378m).
La route menant au col de Spandelles depuis Ferrières est très souvent fermée en hiver, renseignez-vous avant de partir et prévoyez en cas de fermeture, de monter au col par la route d’Argelès-Gazost. En cas de neige, vous aurez la possibilité de stationner à l’intersection de la route menant au Gîte refuge du Haugarou (+2km pour 200m de dénivelé en plus). Voir Inforoute 65

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Depuis le col, suivre le sentier qui monte dans la forêt (Nord-N.E).

Randonnée faite avec Jean-Jacques
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Après avoir franchi le promontoire rocheux, l’itinéraire descend à découvert vers le Nord-N.E jusqu’au col d’Ansan.

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Col d’Ansan (1388m).

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Une fois de plus nous sommes au-dessus de la mer de nuages, que du bonheur !

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Ces dernières semaines, il fallait grimper au-dessus des 1300m pour avoir un beau ciel bleu, limpide comme aujourd’hui.

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C’est l’heure de la traite pour les brebis.

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Au panneau 1420m, laisser l’itinéraire de gauche qui monte au Pic de l’Estibète (Nord-Ouest),

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et suivre le sentier de droite (Nord-Est) qui monte au Soum de Granquet.

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Une belle mer de nuages qui restera bien stable jusqu’à notre retour.

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Le sentier monte vers le Nord-Est, puis plein Nord jusqu’au col.

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Panorama vers l’Est.

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La montée est soutenue, mais sans aucune difficulté sur un bon sentier.

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L’arrivée au col (1810m) avec 2 Patous pour surveiller les brebis du secteur.

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Heureusement qu’ils ne sont pas agressifs comme ils le sont malheureusement trop souvent.

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Belle vue depuis le col sur les sommets des Hautes-Pyrénées et des Pyrénées-Atlantiques (1h15 depuis le départ).

Panorama à 360° depuis le col:

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Depuis le col, laisser la sente qui monte au Soum de Granquet (Sud-Ouest).

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Descendre en direction du cirque vers l’Ouest jusqu’à apercevoir des sentes de brebis.

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La mer de nuages côté plaine.

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Vers 1795m, 200m après le col
descendre dans le cirque sur un sentier fait par les brebis (Sud-Ouest).

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Pas de difficulté pour descendre dans le cirque par temps sec,

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2 ou 3 sentes bien visibles et bien marquées vous feront descendre sans difficulté.

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Les brebis sont juste en dessous du Soum de Granquet bien à l’ombre.

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Elles sont descendues en 30 secondes pour nous rejoindre.

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Elles m’ont pris pour le berger !

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Vers 1680m, viser le Pic de l’Estibète en restant un peu à flanc, sans trop descendre.

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Grimper hors sentier en direction du Nord-N.E,
en visant le pierrier qui se trouve juste en dessous du Pic de l’Estibète.

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L’itinéraire que nous venons de parcourir depuis le col dans le cirque de l’Estibète.

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L’arrivée dans la pierraille.

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Le début du pierrier.

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Perrier qui est très court et pas éprouvant du tout.

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L’entrée de la Tute de l’Ours (1820m) est ici, juste en dessous du sommet de l’Estibète.

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Comme je l’ai précisé en préambule,
il est inutile de monter en haut de la grotte, beaucoup trop dangereux !

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Maintenant, rien ne vous empêche d’aller à l’entrée de la grotte,
mais ne surtout pas escalader sauf si vous êtes des grimpeurs confirmés.

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Après une trentaine de mètres dans les orties, aïe aïe aïe !

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L’intérieur de la Tute de l’Ours.

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Il faut impérativement une corde pour nous aider à passer ces 2 pas de 4a/4b, attention roche glissante par l’humidité. À la descente, il vaut mieux confectionner un petit rappel et ne pas faire comme nous. C’est vertical, pas très haut (3/4m max), mais la chute est interdite !

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Les photos de la grotte qui n’est pas profonde, 3 à 4m maximum.

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Ici l’on voit bien que l’eau jaillissait par ce trou.

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La visite est terminée.

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Comme vous l’avez constaté sur les photos, rien d’extraordinaire,
par contre la montée au sommet par le cirque de l’Estibète en passant au pied de la Tute de l’Ours est superbe.

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Retour au niveau du pierrier (Niv: II).

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Depuis le pierrier, longez la paroi (Nord-Est).

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Grimper ensuite pour rejoindre la crête Est (Niv: II) qui rejoint la crête finale de l’Estibète.

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Derrière nous la vue sur l’entrée de la Tute de l’Ours.

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Rien de difficile par temps sec pour des montagnards.

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L’arrivée sur la crête Est.

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Panorama vers la plaine, la mer de nuages n’a pas bougé depuis notre départ.

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Un vautour fauve en bout de crête.

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Zoom sur le Vautour fauve.

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Il n’est pas resté longtemps.

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10 minutes depuis le bas de la grotte.

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La vue sur le cirque de l’Estibète que nous venons de traverser.

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L’arrivée sur la crête finale.

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Quel bonheur d’avoir une mer de nuages comme celle-ci.

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Zoom vers le Moulle de Jaüt (2050m).

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Vers le Durban (1700m).

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Vers le Monbula (1583m) qui émerge de la mer de nuages.

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La crête finale du versant Nord de l’Estibète.

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La Tute de l’Ours est juste en dessous de nous.

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Un peu raide, mais très court et sans danger.

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Le sommet de l’Estibète (1851m)
compter 30 minutes depuis le pierrier de la grotte et 2h45 depuis le départ.

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Jean-Jacques et Mariano au sommet de l’Estibète (1851m).

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Le Panorama sur 360°

Sélectionner le Pic de l’Estibète dans le menu déroulant en bas à gauche du panorama à 360°

Le Cirque de l’Estibète.

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La mer de nuages vers la plaine.

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Vers l’Ouest.

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Vers le Nord-Ouest.

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Le Moulle de Jaüt (2050m).

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Vers le Pic d’Anie.

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Zoom sur le Pic d’Anie (2504m).

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Vers le Monbula (1583m).

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Vers la plaine de Tarbes.

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Jean-Jacques au sommet de l’Estibète (1851m),
merci à lui de m’avoir fait connaître ce beau cirque de l’Estibète.

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Après une dernière vue sur le Cirque de l’Estibète, le retour.

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Retour par la voie normale de l’Estibète.

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Suivre le sentier descendant vers le Sud.

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Oui, il faut juste contempler.

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Aucune difficulté pour le retour, si ce n’est de rester attentif à certains passages comme celui-ci.

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Les vues sont splendides avec cette belle mer de nuages.

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Jonction avec l’itinéraire de la montée (1420m) et retour au col d’Ansan (1388m).

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Retour au col de Spandelles (1h05) compter 1h15.

Ce mardi, parti pour faire l’Estibète en passant par la Turte de l’ours. Mais, après avoir bien délaissé le premier panneau « L’Estibète » pour le soum « Granquet », j’ai prolongé ma traversée trop loin à flanc de montagne, sans visualiser un col où basculer dans le cirque d’Estibète. Je suis remonté enfin vers un sommet dominant le cirque. J’ai alors suivi la crête pour redescendre dans le cirque dès que possible, le long d’une faille schisteuse un peu délicate, afin de rejoindre des traces d’ovins visibles depuis la crête. Passant par-dessus une barre rocheuse, à l’ombre, je constatais que la pluie de la veille avait rendu le terrain gras. Je suis raisonnablement remonté vers la crête sans autre difficulté, ayant à vue l’échancrure de l’autre versant -correspondant peut-être au col sans nom ? Le reste était facile. A proximité du pic de l’Estibète, on aperçoit un passage escarpé le long d’un bon rocher qui m’a paru être la voie à emprunter quand on remonte de sous la grotte de l’ours ? J’en serai quitte à le refaire par temps sec.
Pas besoin d’aller bien haut pour avoir de magnifiques vues et cette mer de nuages.
Merci pour ce récit.
Quel plaisir de contempler ce panorama !!! C’est tout à fait le genre de rando qui me plairait car je veux voir de la verdure . Les sites « tout pierreux » me plaise moins . Actuellement j’apprécie la rando au travers vos topo , mais j’espére véritablement pouvoir en faire une pour apprécier en direct !!!!
Ce fut un plaisir de t’accompagner tout au long de cette randonnée.
Et merci de m’avoir permis de réaliser ce » pélerinage » à la Tute de
l’Ours que j’avais découverte il y a déjà 16 ans !
Amitiés
Jean-Jacques
Bonjour Mariano ,
Belle sortie avec une somptueuse mer de nuages . Pour les patous vous avez eu de la chance , c’est pas souvent qu’ils laissent passer !
Merci pour le partage , un régal .
Amitiés
Bonjour Mariano
Belle boucle avec un bon guide pour visiter la tute de l’Ours, à voir même si ce n’est pas extraordinaire !
Amitiés
Serge
Merci pour cette belle balade et tjr ces magnifiques photos. Avec l’ambiance pesante du COVID, cela fait bcp de bien. continue. CC