Pic de Montarrouye (2568m)
Le Pic de Montarrouye (2.568m) en boucle par le Soum de Marianette (2.354m),
la Pène Arrouye (2.420m) et le lac de Gréziolles (2.112m) depuis le virage du Garet-D918 (1.415m).
- Déniv: +1340m – (2h15+0h30+1h30+3h30)= 7h45 – 14 km Niv: Montagnard
- Date: le 24.08.2023 – Hautes-Pyrénées – Départ: Virage du Garet (1.415m) D918
D’une altitude modeste (2.568m), peu visible depuis les alentours et encore moins depuis la plaine, le Pic de Montarrouye ne jouit pas d’une grande notoriété auprès des montagnards, peut-être par méconnaissance du secteur ou par sa difficulté d’accès par l’arête Nord-Ouest. Pourtant cette magnifique boucle, ne manque pas d’attraits : Une trilogie de 3 jolis sommets à gravir, le Soum de Marianette, la Pène Arrouye et le Pic de Montarrouye, avec des panoramas somptueux depuis chaque sommet. Des pentes herbeuses bien soutenues pour l’accès à la Marianette, une belle pyramide sans difficulté pour le second et une arête finale ludique pour la montée finale au Pic de Montarrouye, sans oublier le retour par une multitude de très jolis lacs.
L’arête Nord-Ouest du Pic de Montarrouye est une crête ludique, ne présentant pas de réelles difficultés par temps sec, cotation: F+ (II/II+) pour des personnes habituées à poser les mains et à évoluer dans cette ambiance granitique élancée entourée de pins à crochets avec des vues à couper le souffle sur les lacs de Campana et Gréziolles.
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Difficultés:
- Longue randonnée (entre 7 et 8h de marche)
- La montée au Soum de Marianette et raide mais sans danger en l’absence de neige.
- La montée à la Pène Arrouye ne présente aucune difficulté pour ceux qui ont le niveau montagnard.
- Cotation: F+ (Il faut utiliser les mains pour progresser) Ascension en terrain exposé – Escalade dans le II+, Engagement: II, le plus souvent sur terrain de marche facile, sûreté du pas accrue, passages d’escalade clairement disposés et sans problèmes à condition de bien tester ses prises.
- Les 3 ou 4 ressauts dans la première partie de l’arête Nord-Ouest, se contournent par la droite avec des pas d’escalade facile (II+) pour éviter de se mettre en danger sur le versant Est.
- Retour par un couloir herbeux pentu et un passage dans un pierrier avec de gros blocs depuis le col de la Touyague (rejoindre au plus court les 2 laquets vers le Sud-Ouest pour éviter de rester trop longtemps dans le pierrier).
Depuis le virage du Garet (D918) vers 1415m d’altitude, traverser la route et descendre au pont du Garet.
Départ à 7h00 du matin.
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Grimper au col sans nom en suivant la sente qui monte vers l’Est.
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Sortie faite avec Serge.
A l’arrivée au croisement de la boucle, vers 1555m, grimper hors sentier au Cot Dessus (Est-S.E).
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Mariano dans la montée au Cot Dessus.
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Joli lever de soleil vers 7h25 du matin.
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Le Pic du Midi de Bigorre (2.872m) dans toute sa splendeur !
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Montée soutenue hors sentier et sur des sentes de brebis jusqu’au Cot Dessus.
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La vue sur notre itineraire de retour en début d’après-midi, ce sera dans 7h00 !
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L’arrivée au Cot Dessus (1870m) 1 heure depuis notre départ.
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L’itinéraire pour la montée au 1er sommet, se fait hors sentier sur une pente bien raide jusqu’au Soum de Marianette.
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Deux choix: grimper tout droit sur le fil de crête en faisant des lacets
ou contourner légèrement le massif par la droite sans trop s’éloigner de la crête.
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Les brebis prennent leurs premiers rayons de soleil de la journée.
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Avec cette pente bien raide, nous prenons très vite de la hauteur pour voir le Pic du Midi de Bigorre (2872m),
le départ de notre sortie et au loin la ville de Tarbes.
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L’arrivée au sommet.
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Soum de Marianette (2.354m) 2h15 depuis le départ pour 945m de D+ et 3,7km de distance.
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Voir le panorama du Soum de Marianette:
Pic du Midi de Bigorre (2872m).
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La randonnée est très longue (9h30 pauses comprises).
Nous ne restons que quelques minutes au sommet pour continuer notre course vers le deuxième sommet de la matinée.
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Suivre le fil de crête plein Sud avec une légère descente depuis le Soum de Marianette.
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La montée peut impressionner mais il n’y a pas vraiment de difficulté.
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Faire tout de même attention au moment de contourner ce gendarme par la gauche, rien de difficile,
mais c’est dans ce genre de passage avec une vire un peu exposée qu’arrivent bien souvent les accidents par manque de vigilance !
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La montée très vite sur le fil de crête.
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Puis la partie finale qui est raide mais sans danger par temps sec.
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L’arrivée au sommet: 2h45 pour +1050/-60m pour 4,4km de distance (30 minutes depuis la Marianette).
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Sélectionner le panorama de la Pène Arrouye (2.420m) depuis le menu déroulant en bas à gauche:
La Pène Arrouye (2.420m) avec la vue sur notre 3em sommet, le Pic de Montarrouye (2.568m).
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Mariano.
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Serge devant le Bastan,
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un autre joli sommet que j’ai fait en compagnie de Matthieu qui nous a malheureusement quitté en 2019.
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Magnifique vue sur les lacs et le Pic des Quatre Termes (2724m).
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La vue sur les 3.000m de la réserve du Néouvielle et du Refuge de Campana de Cloutou et son lac.
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Comme au premier sommet, nous ne restons que 5 petites minutes avant de repartir.
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Suivre le fil de crête toujours plein Sud jusqu’au pied de l’arête.
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Voilà, ce qui nous attend,
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compter entre 45mn à 1h00 depuis le début de l’arête.
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Nous concernant, nous avons mis 1h15 depuis le début de l’arête en prenant vraiment notre temps,
afin de pouvoir prendre beaucoup de photos et apprécier ce joli paysage qui s’offrait à nous !
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C’est parti pour le premier gendarme,
que nous allons contourner par la droite comme les prochaines difficultés.
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Rien de bien difficile, niveau II voir certains passages avec un niveau II+.
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Le rocher est dans l’ensemble bon mais certaines prises doivent être impérativement testées avant de vous hisser,
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c’est la règle numéro une si vous voulez continuer à pratiquer ce genre de course qui reste néanmoins facile, mais vous n’avez pas droit à l’erreur!
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L’arête est bien déchiquetée mais ça passe relativement bien en restant prudent.
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Serge dans un petit pas de II.
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La vue sur notre droite tout le long de cette arête est une pure merveille !
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Serge dans cette ambiance granitique élancée entouré de pins à crochets.
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Encore un gendarme qu’il faut contourner par la droite,
bien que celui-là pourrait facilement se gravir par le fil de crête à gauche.
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La vue sur nos 2 premiers sommets avec une partie de l’arête du Pic de Montarrouye déjà effectuée.
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Mariano.
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Serge.
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Nous avons pris notre temps pour gravir cette arête avec Serge,
il faut dire que s’arrêter pour prendre des photos, nous fait ralentir le cardio, ce qui est bien aussi !
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Encore une partie où il faut rester un peu vigilant et ensuite la deuxième partie est plus facile.
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Vers le Pic de Néouvielle (3091m).
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La vue sur la partie de l’arête qui est la plus délicate.
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Une crête ludique où nous avons pris notre pied !
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Photos et petite pause bien méritée !
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Le Néouvielle et le lac de Campana.
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Refuge de Campana de Cloutou.
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Du Campbieil (3173m) au Néouvielle (3091m) avec le Pic Long (3192m) au milieu.
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Zoom sur le Pic Long et le Néouvielle.
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Le Pic du Midi de Bigorre (2.872m) omniprésent depuis notre départ.
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La deuxième partie de l’arête Nord-Ouest qui ne comporte pas vraiment de difficulté.
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Encore lui !
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La cime est en vue !
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Les derniers mètres . . . . .
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Changement de décor avec un monde minéral jusqu’au sommet.
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Les nombreux lacs du secteur.
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Pic de Bastan et le Pic Long (3192m).
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Nos deux sommets effectués ce matin.
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La ville de Tarbes au loin.
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L’arrivée de Serge au sommet du Pic de Montarrouye (2.568m).
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Pic de Montarrouye (2.568m) 4h15 depuis le départ pour +1260/-116m pour 5,8km.
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Sélectionner le panorama du Pic de Montarrouye (2.568m) depuis le menu déroulant en bas à gauche
ou en cliquant sur les étoiles animées des 4 panoramas dont 1 annoté au format 8K:
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Un panorama merveilleux depuis la cime.
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Le lac de Gréziolles (2112m).
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Vers le Mont Perdu (3.355m).
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Vers le Montfaucon (2712m) et l’Arbizon (2831m).
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Chantal une randonneuse de la région arrive à son tour au sommet du Pic de Montarrouye.
Elle est montée par le vallon de la Gaoube depuis le Cot Dessus et le Col de la Touyague pour éviter l’arête Nord-Ouest.
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Après être restés 1h au sommet pour casser la croûte et pour admirer le paysage, retour par les lacs de Gréziolles.
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Descendre le fil de crête du versant Sud du Montarrouye jusqu’au col de la Touyague,
pas de difficulté particulière si ce n’est que la pente est raide.
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Col de la Touyague (2444m) 10 minutes depuis le sommet.
A gauche, le retour par le vallon de la Gaoube et le Cot Dessus (3h00) et à droite par les lacs de Gréziolles (3h30).
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Le retour par les lacs est plus long que par le vallon de la Gaoube mais beaucoup plus joli !
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Depuis le col de la Touyague (2.444m) descendre le couloir herbeux en restant bien à gauche.
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Puis continuer en restant à gauche pour rejoindre au plus vite les 2 laquets,
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et ne pas continuer sur ce pierrier qui est inconfortable et pénible.
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La vue derrière nous vers le sommet du Pic de Montarrouye (2.568m) et le col de la Touyague (2.444m).
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Cette araignée avait construit une grande toile pour capturer ses proies, nous l’avons contournée pour ne pas détruire son travail.
Voir sa construction entre 2 énormes blocs.
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La fin des gros blocs.
20 minutes depuis le départ du col de la Touyague et 30 minutes depuis le sommet
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Petit pause au premier lac pour nous rafraîchir.
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Cette année contrairement à l’année dernière, les lacs de montagne sont bien remplis,
par contre les glaciers disparaissent de plus en plus vite et ce sera irréversible !
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L’itinéraire est évident,
suivre le vallon entre les différents lacs et en passant à gauche du lac Noir (2180m).
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Vers le refuge de Campana de Cloutou (2225m) avec au premier plan, le Laquette de Gréziolles (2119m).
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La jonction avec le Gr10c-Utp qui descend du refuge Campana de Cloutou.
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Le lac de Gréziolles (2112m).
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Nous restons au plus près du lac pour aller visiter la cabane de Gréziolles.
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Cabane de Gréziolles (2.130m).
Capacité été/hiver ouverte 3 places sans matelas + cheminée et bois + eau.
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Lac de Gréziolles (2112m).
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Nous reprenons notre sentier du Gr10c-Utp qui va nous faire descendre à droite du barrage.
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Et longer le réservoir des Laquets (2040m) rive gauche.
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Puis la longue descente Nord-N.E du vallon du Garet jusqu’à la voiture (1h30).
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Retour à la jonction de ce matin (1555m).
Quitter le Gr10c qui file à droite ver le village d’Artigues et suivre la sente à gauche en direction de l’Ouest.
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La vue sur le virage du Garet (1415m).
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Petit arrêt pour nous rafraîchir les pieds !
Elle est bien froide mais que ça fait du bien après 9h37 de marche (Pauses comprises).
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Merci Serge pour cette très belle sortie que nous devions faire depuis déjà fort longtemps, magnifique !
Fond d’écran de cette très belle sortie
Bonjour, Je vais souvent au Soum de Marianette en été. Je démarre depuis le Courtaou de la Sarroua ou bien depuis Payolle en passant par les Esclozes. Cela évite de partir du Garet et de monter au Cot Dessus. Je suis le haut de la moraine qui domine la vallée de la Gaoube. Je contourne par la droite le Castet Sarradis, la Pène Chouriguère et le Tuhou Gran. Après ce dernier, on atteint un collet sur la courbe de niveau 1900 m. De là, une petite sente grimpe la pente raide et gagne le sommet du Soum de Marianette. Pour revenir, je suis la ligne de crête depuis le sommet et j’arrive à un petit col sous le Carrot Nègre (petit gendarme que mentionne Mariano dans le topo). De là, une pente herbeuse raide (35-40°) permet de gagner le fond du vallon. Ensuite, une sente plus ou moins bien marquée permet de gagner la valleé supérieure de la Gaoube en amont du lac de Montarrouye, au pla d’Ayets. Une sente mène au Lac. Du lac, un sentier balisé (jaune) ramène à Payolle ou bien aux Esclozes d’où l’on remonte sur la moraine pour redescendre à la Sarroua.
Jolie boucle, parcourue le 18 juillet 2024 par temps beau et chaud, en 8h de marche effective environ.
Personne pendant tout le parcours hors sentier jusqu’au Lac de Gréziolles.
Merci pour le topo !
Randonnée réalisée ce 21 octobre. Nous n’avons pas pu faire la crête du Montarrouye à cause d’une fine couche de neige gelée. Possibilité de descendre après la Pene Arrouye pour rejoindre le lac de caderolles et faire une boucle (pente herbeuse et pierrier).
Bonjour Mariano,
très beau topo, les photos sent superbes,
Merci Amitiés
Bonjour Mariano,
Tu réponds à une interrogation que je m’étais posée une fois, arrivé
à Pène Arrouye : » cette arête du Montarrouye est-elle praticable ? « .
J’avoue qu’à la vue de ce parcours encombré de gros blocs ,de pins
à crochets et de végétation dense, je n’avais pas osé m’y aventurer.
J’ai gravi plusieurs fois ce pic, en hiver comme en été, soit côté
Gaoube, soit par le versant ouest, sur des pentes assez raides mais
évidentes.
Merci pour ce topo et ces belles images qui ravivent mes souvenirs.
Amicalement Jean-Jacques
Bonjour Mariano,
Ça à l’air d’être une super rando, mais pourrais tu me dire s’il y a possibilité de faire un bivouac à mi chemin, afin de repartir l’effort sur 2 jours?
Merci pour toutes ces belles randos et photos
Amicalement
Christian
Tu as de la place sur le Soum de Marianette pour y faire un bivouac et c’est le plus gros du dénivelé et sans danger.
Par contre, grimper avec un sac lourd par l’arête Nord-Ouest, c’est pas top sauf si tu as vraiment l’habitude d’évoluer dans ce genre de terrain.
Tu peux bivouaquer au soum de Marianette et ensuite au niveau de la Pène Arrouye (avant ou après), descendre dans la pente qui n’est pas très abrupte pour rejoindre le vallon de la Gaoube et grimper au col de la Touyague, pour monter en 15 minutes au Pic de Montarrouye et de faire le retour par les lacs en revenant au col de la Touyague.
Bonne journée
Mariano
Bonjour, je confirme, ne faites pas cette crête avec un sac lourd, encombrant et avec des affaires qui dépassent. La crête est très étroite avec des petits sapin un peu partout qui débordent sur l’itinéraire (surtout si on se trompe car sur place le chemin n’est pas du tout évident à juger malgré le topo) . D’autant plus que les pentes sont très très raides, le poids du sac peut vous emporter.
Una « belle sortie » que exige tener buenas piernas.
Paisaje inédito para mi que tus pasos y tus bonitas fotos me han permitido conocer.
Saludos.
Magnifique, merci pour les photos
Amialement
Didier
Bonjour Mariano
Précision chirurgicale pour le topo de cette belle boucle (comme tous tes topos) La trace est sure parce que relevé réellement sur le terrain ! A ma première tentative en 2020 je n’avais pas de trace fiable, j’avais donc improvisé et renoncé à 15 minutes du sommet alors que le terrain devenait plus facile, mais j’avais laissé beaucoup d’énergie dans les couloirs ! Très heureux d’avoir partagé cette sortie avec toi !
La nature nous permet de faire de magnifiques photos et tes panoramas sont vraiment somptueux !
Amitiés
Serge