Randonnée Peña Telera 2764m

La Peña Telera surplombe une extraordinaire barrière rocheuse dans la sierra Partacua

  • Boucle: +1500m – 08h00 – 15 km Niveau: Montagnard pour la Boucle (Randonneurs expérimentés)
  • Aller-retour: +1430m – 06h45 – 14 km – Niv: Randonneur (voir le lien ici)
  • Niv: Marcheur pour le lac de Piedrafita
  • Date: le 30.06.2012 – Espagne – Départ: Parking la Cuniacha (1365m)

Randonnée sportive par sa longueur et son dénivelé (+1500m cumulé) cette randonnée n’est pas difficile en aller-retour et par temps sec, juste un minimum d’attention dans certains passages où il faut mettre un peu les mains. Concernant el Paso Horizontal, bien qu’il n’y ait pas de danger par temps sec, il est fortement recommandé de ne pas s’y aventurer si le passage est recouvert de neige.

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Difficultés:

La boucle, elle, est réservée uniquement aux Randonneurs expérimentés, en effet le cheminement bien cairné tout le long devient difficile à trouver en fin de boucle, les repères disparaissent et cela demande une bonne expérience du terrain accidenté en raison des barres rocheuses.

  1. Pour l’aller-retour: Passage d’un pierrier très raide et petite escalade.
  2. Pour la boucle: Terrain confus, désescalade (barres rocheuses), bien savoir s’orienter. Par temps de brouillard, même pour des randonneurs chevronnés, revenir par le même itinéraire que l’aller.
La suite du Topo . . . . . . . . . .

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 Nouveau départ (depuis juin 2022): L’ancien parking de la Cuniacha n’est plus accessible

2 choix: Parking herbeux gratuit à la sortie du petit village de Piedrafita de Jaca avec +80m de dénivelé et 25 minutes de marche en plus à la montée par rapport à l’ancien départ ou le parking payant de la Cuniacha (Parking du Parc Animalier) qui ouvre à 8h30 (Prix: 5€ à la journée).

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Depuis le parking, revenir un peu en arrière pour remonter la piste en direction du Nord-N.O

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Randonnée faite aujourd’hui avec Laure.

Après les 1,5km de piste et après avoir coupé la piste vers 1440m, nous quittons définitivement la piste (1480m) en prenant à droite le sentier (Ref de Telera).

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Zoom sur l’itinéraire de montée de la Peña Telera.

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Avec le fameux passage Horizontal qu’il ne faut pas prendre si le sentier est recouvert de neige.

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Altitude 1550m.

Après 30min de marche, nous atteignons le refuge Icona que nous laissons sur notre droite.

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Se diriger vers le Sud-Ouest, le lac de Piedrafita n’est plus très loin . . .

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Zoom sur les 900m de pierrier très raide qu’il va falloir gravir.

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Fin du couloir accédant au col de Convachirizas.

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À quelques pas du lac de Piedrafita 1620m, un panneau nous indique (Arco Natural)

c’est la direction qu’il faut prendre pour aller à l’Arche de Sarronal, randonnée faite il y a 1 mois (Ici)

Photo de l’Arche de Piedrafita ou de Sarronal.

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Lac de Piedrafita 1620m (50min depuis le départ).

Magnifique panorama sur le lac de Piedrafita et la Peña Telera qui culmine à 2764m.

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Contourner le lac soit par la gauche ou par la droite et s’orienter en direction du fameux couloir (Sud-Ouest).

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Vue derrière nous sur le lac de Piedrafita et le massif du Garmo Negro 3051m..

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Petit pierrier à monter.

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Rien à voir avec celui qui nous attend.

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Temps splendide qui va nous accompagner tout le long de cette journée.

Panorama derrière nous depuis le haut du petit pierrier (du Peyrelue au Garmo Negro).

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Petit passage à flanc sans difficulté.

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Nous contournons cette petite éminence par la droite pour accéder au début du grand pierrier,

avec une belle vue sur le sommet de la Peña Telera droit devant.

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Sentier nous menant au début du pierrier.

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Pour la plupart des sommets, la voie normale est la plus facile, ici dans le massif de la Peña Telera, c’est le contraire, la voie normale passe par le versant Nord et emprunte un inconfortable et interminable couloir d’éboulis.

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C’est raide ! ! !

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Début du couloir (2000m) 1h45 depuis le départ.

Monter dans un premier temps en se faufilant entre les gros blocs.

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Vue sur l’Ossau (2884m) depuis le début du pierrier.

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Rester dans la partie droite du pierrier pour ne pas trop galérer

et avoir quelques appuis pour ne pas trop glisser.

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Sinon vous risquez de faire 1 pas en avant, puis 2 en arrière !

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Vue sur la Peña Telera depuis le milieu du couloir.

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La vue derrière nous est superbe !

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Oui, c’est raide ! ! !

Mais pas de difficulté, si ce n’est qu’il faut avoir l’habitude de gravir des éboulis.

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Fin du couloir

(50min depuis le pied du pierrier pour 400m de dénivelé et les 900m de longueur).

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Col de Convachirizas 2380m (2h30 depuis le départ).

Sortie du couloir avec un magnifique panorama côté espagnol.

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Depuis le haut du couloir, suivre le sentier à droite (Nord-Ouest).

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Tout simplement superbe !

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Panorama vers les Palas 2974m et Balaïtous 3144m avec en contrebas

le lac Piedrafita où nous étions tout à l’heure.

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Toujours depuis le col de Convachirizas, vue sur le retour de l’itinéraire pour la boucle:

Attention:

Uniquement pour randonneurs très expérimentés et en l’absence de brouillard.

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La Peña Telera est juste derrière ce massif (Peña Covachiriza) ou encore appelée Peña Parda.

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El Paso Horizontal.

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Sentier menant au Paso horizontal.

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Des randonneurs espagnols sont devant nous.

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Laure au début du Paso horizontal (2400m).

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Aucune difficulté en été et par beau temps,

par contre s’il y a de la neige sur le sentier, interdiction d’aller plus loin.

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Sinon, c’est un non-retour assuré ! ! !

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Encore beaucoup de photos sur ce topo, mais le paysage est vraiment d’une beauté exceptionnelle.

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Fin de la vire horizontale.

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Le Vignemale, plus haut sommet des Pyrénées françaises que l’on a fait il y a 15 jours (Ici)

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Vue derrière nous sur la vire.

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Après la vire, longer la paroi jusqu’au pied d’un mur qu’il faut ensuite gravir.

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Au pied du mur, sorte de dépression entre la Telera et la Covachirizas, monter vers l’Ouest-S.O

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Pas de grosses difficultés si ce n’est qu’il faut mettre un peu les mains.

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Toujours des vues à vous couper le souffle !

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Passage où il faut mettre les mains (petite escalade).

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Laure cherchant la bonne prise.

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Il y a des cairns tout le long de l’itinéraire jusqu’au sommet.

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Impressionnant !

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Un papillon appelé zygène.

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Nous sommes arrivés au-dessus du mur, altitude 2520m.

En face de nous un cirque avec au-dessus le col de la Telera 2582m.

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3h10 depuis le départ, il ne reste plus qu’à suivre la crête jusqu’au sommet (Nord-Ouest)

Compter une trentaine de minutes pour atteindre la cime.

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Quelques éboulis, mais rien de méchant.

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Des espagnols descendent de la Peña Telera.

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Corona del Mallo 2535m.

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Petite brèche en montant au sommet avec la vue sur le pic du Midi d’Ossau 2884m et le Palas 2974m

avec le lac de Tramacastilla 1690m.

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Col de la Telera 2582m, qu’il faut atteindre pour le retour en boucle.

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La Peña Covachirizas ou Peña Parda (2657m).

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Un groupe de randonneurs espagnols montent derrière nous au sommet.

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Habituellement nous sommes plus nombreux à faire les randonnées (3, 4 voire un peu plus) aujourd’hui, seule Laure a répondu présente, tant pis pour les autres, ils auront loupé une journée mémorable qui restera gravée longtemps en nous !

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La montée depuis le haut du mur ne pose pas de problème.

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Encore une petite brèche avec cette fois-ci la vue sur les pics d’Enfer 3082m.

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Panorama du Lurien 2826m au Vignemale 3298m.

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La cime n’est plus très loin.

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3h45 depuis le départ, un peu mal aux jambes sur la fin, mais avec +1400m de dénivelé sans trop se reposer, c’est un peu normal.

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Laure et Mariano au sommet de la Peña Telera (2764m).

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Par sa situation en retrait de la chaîne, le panorama de la Peña Telera  est tout simplement grandiose.

Camera-Panorama-Automatique

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Panorama vers la Collarada 2886m jusqu’au lointain pic d’Anie 2504m.

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Du Jean-Pierre 2884m aux pics d’Enfer 3082m.

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Quelle vue ! ! !

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Pour les randonneurs qui n’aiment pas le gaz !

ce n’est pas ici qu’ils doivent venir, plus de 1000m de vide ! ! !

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Panorama splendide côté espagnol, avec une superbe lumière pour les photos.

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Arriel 2824m, Palas 2974m et Balaïtous 3144m.

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Les pics d’Enfer 3082m avec du monde sur les 3 sommets.

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Le massif du Vignemale avec à droite le pic de Montferrat (3219m)

et la pique Longue à gauche (3298m) que l’on ne voit pas, cachée par le Clot de la Hount 3289m.

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Astazou, Taillon, Marboré, Cylindre et Mont Perdu, que des Géants de ce magnifique cirque de Gavarnie.

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La Collarada 2886m.

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Randonneurs au sommet de la Collarada 2886m

(Lien de la randonnée Ici)

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Pala de IP (2783m) et la Punta Escarra à droite (2748m).

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Pic du Midi d’Ossau 2884m avec une mer de nuages au niveau des Cinq Monts.

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Le lac de Tramacastilla 1690m.

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Le lac de Búbal 1080m avec le village de Piedrafita en bas à droite de la photo.

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L’itinéraire de montée et de descente de la Peña Sabocos.

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Lac d’Escarra 1640m.

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Collarada et Ossau depuis le sommet.

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Pico Retona 2571m avec au loin la Peña Oroel 1770m.

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Les Bardenas en miniature.

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Le village de Formigal.

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Vue vertigineuse sur le petit lac de Piedrafita (1100m plus bas).

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Ne vous approchez pas trop du bord, c’est 1100m tout droit ! ! !

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C’est assez impressionnant, même en regardant les photos.

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Alors sur place, je ne vous dis pas . . . ça vous remonte dans l’estomac.

Pour les photos, ne vous approchez pas trop près !

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La Peña Oroel 1770m.

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Beaucoup de vent au sommet !

Nous sommes redescendus un peu en contrebas de la cime pour nous protéger,

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mais pas plus loin !

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La Peña Gabacha 2206m.

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Corona del Mallo 2535m et Peña Blanca Alta.

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Panorama vers la Tendeñera 2853m.

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Panorama de la Collarada 2886m au pic du Midi d’Ossau 2884m.

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L’immensité du paysage qui s’offre à nous est d’une rare beauté !

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Juste avant de quitter le sommet, une petite photo de Laure pour immortaliser l’instant.

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Pour le retour, redescendre par le même itinéraire que la montée.

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À partir d’ici deux possibilités de retour:

  • Pour les moins aguerris revenir par le même itinéraire que l’aller
  • Pour les randonneurs expérimentés faisant la boucle, rejoindre le col de la Telera 2582m que l’on voit ici sur la photo.

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Beaucoup de Fleurs sur le chemin du retour (Androsace velue).

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Edelweiss.

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Depuis le col de la Telera 2582m, vous pouvez suivre la crête en montant à la Peña Covachirizas 2657,

puis redescendre de l’autre côté pour rejoindre un des deux couloirs au niveau des barres rocheuses.

Attention, la descente est raide.

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Vue depuis le col de la Telera côté espagnol.

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Vue depuis le col côté français.

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Depuis le col de la Telera 2582m,

suivre la sente qui chemine à flanc de montagne et que l’on distingue très bien sur la photo.

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Suivre bien les cairns.

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Le sentier contourne la Peña Covachirizas.

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Paysage toujours aussi superbe.

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Cabane del Plan de Usabas 1840m.

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Panorama derrière nous.

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Jusqu’ici pas de problème, les cairns sont bien disposés et bien visibles.

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À partir d’ici , soyez vigilants et ne perdez pas de vue les cairns.

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Après cette petite descente d’une vingtaine de mètres, soyez très attentifs.

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Attention: Passage clé (altitude 2500m)

Retournez-vous sur votre droite pour y voir un cairn (à peine visible), c’est par là qu’il faut descendre.

Nous ne l’avons pas vu et avons continué notre chemin au-dessus des barres rocheuses, voir un peu plus loin . . .

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Après avoir repéré le cairn, vous devriez normalement accéder à ce petit couloir herbeux.

Puis descendre une cheminée herbeuse (facile) Merci à Jeforce pour la photo (son site web ici)

Après la cheminée herbeuse, prendre à droite une petite vire.

Vire plus impressionnante que difficile, restez tout de même vigilants.

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Retour en arrière de ce topo, au niveau du Passage-clé ! altitude 2500m

N’ayant pas vu le cairn en contrebas, nous avons continué en visant le col de Convachirizas. Pourtant sur mon GPS, je n’étais pas loin de la vraie  trace (environ une vingtaine de mètres), mais lorsque vous êtes au-dessus des barres rocheuses, vous pouvez être à quelques mètres de la trace, mais très loin au niveau distance, toujours est-il que je me suis vite rendu compte que nous n’étions pas dans la bonne direction. Nous sommes revenus sur nos pas en descendant un petit couloir un peu raide en désescalade.

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Puis nous avons cherché s’il y avait une autre issue pour ne pas retourner jusqu’au passage clé.

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En cherchant un peu, nous trouvons des cairns au loin en direction du col de Convachirizas.

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Le paysage est toujours aussi beau, mais là n’était pas notre préoccupation première.

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Laure au regard un peu inquiet.

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Eurêka, un cairn !

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Nous attendons un couple basque un peu perdu et inquiet de ne pas trouver l’itinéraire.

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C’est bien un cairn !

Mais ça paraît drôlement chaud !

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Il ne faut pas se tromper !

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Depuis le cairn, descendre doucement en bien vérifiant les prises, une d’entre elles m’est restée dans les mains

pourtant le rocher me paraissait bon, comme quoi il faut toujours vérifier ses prises.

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C’est chaud, mais cela passe bien.

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Laure au début de la descente.

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Une photo avec un autre angle de façon à mieux se rendre compte de la pente.

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Je vous rassure, par beau temps et pour des randonneurs aguerris ayant l’habitude, pas de problème !

Par contre, pour les autres, si malgré les recommandations de ce topo, vous vous trouvez dans cette partie et que vous n’êtes pas rassuré, retourner en arrière pour trouver le premier passage ou revenir en arrière pour reprendre l’itinéraire de l’aller, même si vous perdez 1h, ce n’est rien à côté d’une vie !

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Le couple basque n’est pas trop rassuré non plus, mais il va descendre avec nous sans problème.

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Le col de Convachirizas.

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Encore quelques mètres pour retrouver le sentier qui nous mènera au col.

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Retour au col de ce matin.

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Le couple basque content d’être sorti de ce mauvais pas, je n’imagine même pas s’ils avaient continué plus haut, au-dessus des barres rocheuses.

C’est là que vous vous rendez compte qu’un GPS est drôlement utile pour la sécurité, à condition bien sûr d’avoir chargé une trace correcte (le mieux c’est une trace faite sur le terrain).

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Panorama depuis le col de Convachirizas 2380m.

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Les deux seuls passages existants pour pouvoir se sortir de ces barres rocheuses.

En rouge, le passage que nous venons de faire.

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À ne faire que par beau temps.

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Quelle journée !

Merci madame météo pour ce beau cadeau.

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Retour en haut du couloir d’éboulis.

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1h55 depuis le sommet de la Peña Telera par la boucle

(comptez 1h à 1h10 pour le retour par el Paso Horizontal)

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Début du couloir.

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Il nous faudra 45min pour descendre ce grand pierrier, presque autant que ce matin pour la montée.

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Nous descendons, côté gauche comme pour la montée.

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Il n’est pas rare de glisser sur une dizaine de mètres avec pierres et gros blocs sous vos pieds.

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Voilà ce que c’est lorsqu’on ne veut pas utiliser les bâtons !

Bien utile sur une descente comme celle-ci.

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Superbe !

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Pour la descente dans le pierrier, aller doucement sans se précipiter.

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La fin de ce long et raide pierrier (45min depuis le haut).

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Un milan royal.

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Le sentier après le pierrier.

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Une saxifrage

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Le petit pierrier de ce matin.

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Retour au lac de Piedrafita 1620m (3h20 depuis le sommet)

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Après le lac, suivre le sentier jusqu’au parking.

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Pédiculaire des Pyrénées.

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Orchis mâle

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Retour au parking (4h15 depuis le sommet) total 8h sans les pauses. Journée mémorable dans ce magnifique décor de la sierra Partacua.

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Télécharger le fond d’écran ci-dessous au format HD (1920×1080 pixels)

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18 réponses
  1. PIERRE LE PUIL dit :

    Bonjour Mariano,
    Sortie effectuée il y a 2 jours avec un grand beau temps et une belle fraicheur matinale.
    Nous avons couplé dans un 2ème temps l’ascension de la Corona del Mallo pour éviter de redescendre par le grand pierrier qui mène au col de Convachirizas. Ce pierrier n’est un super plaisir à la montée ,alors la descente…..
    Merci à toi Mariano concernant les renseignements fournis concernant la cheminée pour la montée au Corona del Mallo. Effectivement terrain plutôt pourri pour la descente, par contre cela passe très bien à la montée en testant bien les prises.
    Concernant cette sortie ,la Sierra Partacua est vraiment magnifique à tout point de vue. Des paysages extraordinaires , des parois magnifiques , de superbes couleurs.
    Par contre course très physique car la descente par le pierrier suite à la Pena Blanca finit de  » faire mal aux quadriceps ».
    A faire au moins une fois pour la beauté du secteur.
    Merci à toi pour ce magnifique topo.
    Amicalement.
    Pierre.

    Répondre
  2. Lascaray Francine dit :

    Bonjour Mariano
    Tous les sommets surplombant la barre rocheuse de la Sierra Partacua sont extraordinaires. (Travaillant ce WE) mon frère, ce 21/05/22 a parcouru seul le long circuit démarrant à la piste à 1092m qui précède Acumuer (Aragon), longeant la rivière Aurin jusqu’à la voie du sentier assez compliqué qui mène au col de la Canal Plana 2612m (à gauche vous avez la Pena Retona, 2781m (que nous avons réussi le 17/05/15 à la 5ème tentative). Pour lui, ce jour c’était refaire la Pena Puerto Rico 2753m et qu’elle surprise là haut : 2 étrangers (pas espagnols en tous cas) se sont jetés en chute libre ä toute vitesse munis de combinaisons ailées avant de déployer leur parachute juste avant l’atterrissage (wingsuit) Il a juste eu le temps de prendre 2 à 3 photos qu’ils étaient déjà en bas. Il a été estomaqué !! De voir en vrai c’est impressionnant ! Alors que sa sortie était loin d’être finie ! Il continue par le Pabellón 2707m pour descendre et rejoindre la longue piste du col de Acumuer pour revenir à un croisement qui nous mène à la piste de la montée. Sur la piste, c’était la fournaise déjà ! Quel aventure, une fois de plus. Très beau mais très long avec un bon dénivelé ! Il me tarde de voir les photos sans me fatiguer ce coup-ci.
    À bientôt Mariano
    Francine

    Répondre
  3. Thrawn dit :

    Bonsoir Mariano

    Un grand merci pour ce topo.
    J’ai fait la randonnée début septembre.
    Et vu que j’ai été aussi au Peña Sabocos (merci aussi pour le topo) quelques jours plus tôt, je me demande si l’itinéraire de descente (sur la photo zoom du Peña Sabocos) n’est pas plus à l’ouest.

    @+

    Répondre
  4. michel dit :

    Salut Mariano

    super topo qui m’a donné envie de me dégourdir les jambes

    j’ai fait la rando hier et c’était vraiment super

    bonne continuation et A+

    Répondre
  5. claude dit :

    bonjour Mariano, rando donc faite le 17/08 par un temps superbe, heureusement d’ailleurs ! car c’est effectivement indispensable vu le cheminement. je n’ai pas été assez attentif après le lac et nous sommes (2) trop partis à gauche il a fallu donc revenir sur la trace GPS pour retrouver le bon sentier …comme quoi chaque erreur se paye cash mais là sans risque sauf une petite perte de temps de 15 ou 20 mn. le pierrier est très raide, mais on est très bien monté, par contre c’est « chaud » à la descente la prudence s’impose. quel panorama là haut ! somptueux, à classer dans mes plus belles sorties, attentifs sur el paso horizontal, vous avez raison à éviter absolument en cas de neige ou brouillard. pour la boucle, quelques hésitations notamment par la perte par moment des cairns, mais c’est assez normal sur ce type de terrain, avec le GPS rattrapage assez facile du bon cheminement, puis repérage d’un bon couloir herbeux pour une descente plus facile et la remontée vers le col. prudence donc à la descente dans les éboulis, en s’aidant à la paroi rocheuse. 8 h avec les arrêts et la petite perte de temps…, mais les arrêts ont été plutôt courts…car on avait quand même le souci du retour par la boucle…puis la longue route du retour pour nous (3 h). une remarque, pour nous cette rando même en aller/retour nous la classerions en niveau montagnard car le passage dans les éboulis n’est pas évident si on n’a pas un « bon pied montagnard » et même el paso horizontal peut faire hésiter bon nombres de bons randonneurs. enfin par rapport à la punta escuzana on a trouvé cette rando bcp plus éprouvante et délicate bien sûr en rajoutant la boucle, il faut une très bonne conditions physique. par contre quel bonheur ! merci pour ces « trésors »

    Répondre
  6. claude dit :

    bonjour Mariano, je pense faire cette rando en fin de semaine, ma question : la boucle intégrant donc un passage difficile amène t’elle un plus au niveau de la beauté du panorama ? si oui cela me parait nécessaire de la prévoir. j’ai aussi remarqué sur la carte en 3D un passage jaune qualifié plus facile que celui que vous avez fait, est il aisément repérable ? merci pour vos informations. vos reportages sont excellents. cordialement

    Répondre
  7. liliane deweer dit :

    liliane

    Manifique randonnée , les montagne du coté de l’espagne sont
    plus rude et je crois plus haute que du coté français
    Formigal es une tres belle région ,

    Bravo pour la rand et les tres belle photos . Mercie Mariano

    Répondre
  8. louis François Teillet dit :

    Bonjour M Mariano
    Bravo pour cette rando sublime à couper le souffle à tous points de vue,les photos sont magnifiques !
    Une rando vertigineuse que je ne peux m’offrir que grace à ce reportage, mes phobies du vide se déclenchaient rien qu’à vous voir tous les deux sur les passages délicats !!!
    Félicitations et mille fois merci !
    Bien amicalement et bonne continuation

    Répondre
  9. Pellizza dit :

    Bonjour Mariano.Nous nous sommes rencontrés au sommet de la cochata.En effet cette rando est magnifique;Pour la fleur je pense que c’est une pediculaire.Nous sommes aussi allés à la Telera par le sud(soit prendre en VTT piste à Yosa de Sobremonte,soit prendre raccourci depuis la route au niveau de l’ermita de santa Helena)pour atteindre le refuge Barranco del Puerto.L’itinéraire est magnifique aussi mais long!!bises

    Répondre
  10. Joaquín. dit :

    Como siempre, Mariano, has hecho un magnífico reportaje que me ha permitido disfrutar nuevamente de esa estupenda ascensión ,aunque sea virtualmente. Cuando, hace años, pasaba el verano en Escarrilla pisé la cima en cuatro ocasiones, una de ellas por la cara sur, desde el puerto de Biescas.!Que todo vaya bien¡ A bientot.

    Répondre
  11. Robert dit :

    Bonsoir Mariano,
    Remarquable reportage, des photos à vous couper le souffle, de la tension, du vertige, du suspense, mais comment faites-vous dans de telles circonstances pour arriver à prendre de tels clichés dans la réalité? en tout cas, merci de nous faire partager vos randonnées et toute mon admiration à vous deux pour cet exploit montagnard.
    Amicalement

    Répondre
  12. Lili dit :

    Mariano,
    j’ai mal aux jambes de regarder les efforts que vous faites ! et surtout ,il faut le dire de sacrés devers….il faut être aguerri pour aller là mais avec un guide comme toi je pense que Laure n’a pas eu trop de mal ! les fotos toujours aussi belles et les vues sur les sommets fantastiques+le beau papillon+édelweiss trop top…merci Mariano@+

    Répondre
  13. lou64 dit :

    très belle rando avec des passages très chaud ! bravo à vous 2 ! paysages aragonais magnifiques, et superbes photos comme toujours.
    merci Mariano.

    Répondre
  14. tarry jean louis dit :

    Belles photos surtout c’est dangeux pour moi je suis plus jeune ca me rapelle avans 10 ans 1999 je partais tout les jours
    merci pour les photos elle sont superbes à bientôt

    Répondre
  15. André dit :

    Bonjour Mariano
    Belle rando mais, en partie, sous tension. C’est un endroit où j’irai, un jour, mais avec un sac à dos allégé.
    Bonne journée et @ bientôt
    André

    Répondre
  16. laran jeanine dit :

    je ne peux rien dire ,tellement c’est beau ! et impressionant !!! j’ai le souffle coupé ! quelle forme pour avaler tout ça !!! bravo et merci de tout ! jeanine .

    Répondre
  17. jefoce dit :

    Bonsoir Mariano, superbe reportage. Je vois déjà que vous avez eu à surpasser quelques difficultés de descendre. Je t’ai déjà raconté que mon souvenir est aigre-doux, parce que dans la descente j’il ai passé mal. Malgré tout, la Peña Telera est une dame une montagne. Magnifique.

    Répondre

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