Randonnée Pic de Burat (2154m)

Départ depuis le parking au centre du village de Gouaux-de-Luchon (940m).

Paramétrage des altimètres et Gps pour Françoise et Serge.

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C’est parti !

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Traverser le village en direction du Nord,

puis prendre à gauche l’itinéraire en rouge et blanc allant au village de Baren.

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Vers le Maupas (3109m).

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Le sentier est balisé en rouge/blanc et jaune jusqu’au village de Baren.

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Une dauphine des années 60, comment est-elle arrivée là ?

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Le sentier est agréable, il descend dans un premier temps

puis remonte vers le village de Baren en restant pratiquement sur la même courbe de niveau.

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Vers 940m, quitter le sentier qui va au petit village de Baren, et prendre à droite le sentier qui grimpe à la cabane de Baren (Est).

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Nous profitons de la vue sur les 3000 du Luchonnais avant que les nuages arrivent.

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Vers le Pic de Boum (3006m).

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Le Pic Maupas (3109m).

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Le Grand Quayrat (3060m) avec à droite les Spijeoles (3065m).

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L’itinéraire se poursuit sur un sentier peu fréquenté mais visible quand même.

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Sauf, vers 1170m d’altitude et après 1h10 de marche, Serge s’enfonce dans la végétation en suivant le Gps.

Le véritable sentier est à gauche ou à droite où se trouve Serge, après une centaine de mètres (1210m), la sente est de nouveau visible.

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Sauf, que 20m avant, un sentier bien marqué nous invitait à le prendre (Est).

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Le sentier s’est vite transformé en bruyère et fougère et sur une pente bien raide.

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Nous ne nous sommes pas perdus car nous avons nos Gps pour retrouver le sentier un peu plus haut.

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Mais dans ces fougères, les tiques vont s’en donner à cœur joie !

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Après 15 minutes de montée bien raide dans les fougères,

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nous apercevons la cabane de la Plagnette.

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Cabane de la Plagnette (1321m) 1h40 depuis notre départ du village de Gouaux-de-Luchon.

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Belle cabane très propre.

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La vue sur la chaîne frontalière est vraiment très belle depuis ce petit belvédère.

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Pour la suite, deux options:

• Soit grimper directement sur la crête de l’Escalette (Nord) puis suivre le fil de crête sans danger jusqu’à la cabane le Planet (Est)
• Ou prendre le sentier qui descend légèrement depuis la cabane en direction de l’Est pour remonter ensuite vers la cabane sur un sentier peu fréquenté mais marqué.

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Le sentier qui est légèrement en-dessous (en rouge)

est celui qu’il faut prendre pour la cabane le Planet si vous ne montez pas par la crête.

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Nous sommes restés sur un sentier bien marqué et bien large au début, entre la crête et le sentier du bas.

Et comme tout à l’heure, nous avons fait de nouveau, le mauvais choix !

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Hors sentier jusqu’à la sente du bas qui remonte à la cabane (Nord-Ouest).

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Franchement, c’est un peu galère ce début d’itinéraire, des sentiers très peu fréquentés surtout en début de saison.

Le mieux, c’est bien évidement celui qui monte directement en crête.

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Cabane le Planet (1585m) 45 minutes depuis la 1ère cabane et 2h30 depuis notre départ.

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Cabane restaurée, elle est mignonne, propre et en bon état.

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La vue sur la chaîne des Pyrénées pour constater que les nuages se sont malheureusement installés sur la ligne des 3000 !

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Tous les 3000 dans les nuages, vraiment dommage !

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La vue sur la vallée de Luchon.

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Depuis la cabane, viser le bas du petit Pic de Maupas en laissant à gauche le Mail de la Pique (1754m).

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Petite pause pour Françoise et Serge après 3h00 de marche.

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Vers 1750m, au pied du Maupas, deux possibilités:

grimper directement au sommet du Pic de Maupas (1894m), puis redescendre au Port de Burat sans aucun danger.

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Ou comme nous, contourner le Pic de Maupas par la droite avec un petit passage délicat.

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Le meilleur itinéraire est celui qui monte directement au Pic de Maupas,

décidément aujourd’hui nous avons tout faux, je crois bien que c’est la première fois qu’il y ait autant de confusion !

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Bien, que cette fois-ci vous pouvez prendre ce sentier qui contourne le pic sans grande difficulté

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si ce n’est à cet endroit où il faut faire très attention avec une petite désescalade de niv: II+.

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Après cette petite difficulté, nous suivons le sentier qui file vers le Sud.

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Asphodèles.

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Vers 1800m, suivre les différentes sentes qui montent au Port de Burat (Nord-N.E).

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En contournant le pic, l’itinéraire est plus roulant mais aussi plus long (+500m) avec cette petite difficulté à franchir,

par temps de pluie, grimper au sommet du Pic de Maupas.

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Port de Burat (1860m) avec la vue sur le sommet du Burat.

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Suivre le fil de crête jusqu’au sommet sans aucune difficulté (compter 45 minutes pour l’atteindre).

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La vue derrière nous sur le Port de Burat où nous étions.

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Pic du Gar (1795m) et Cagire (1912m).

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Restez bien sur la ligne de crête pour ne pas remonter ensuite sur les pentes herbeuses raides du versant Ouest.

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L’arrivée au sommet.

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Les chevaux que nous avions repérés de loin sont toujours là.

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Pic de Burat (2154m) 4h25 depuis le départ avec les pauses (compter 4h00 sans les pauses).

C’est quand même une longue montée !

Il est peut-être préférable de faire l’itinéraire dans l’autre sens afin de gagner 30mn à la montée (3h30) au lieu des 4h00, mais dans tous les cas dans un sens ou dans l’autre, vous aurez toujours les 6h30 de marche à faire dans la journée.

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Françoise, Serge et Mariano au sommet du Burat.

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Le Panorama sur 360°

Les nuages ont envahi tous les 3000 de la chaîne, quel dommage !

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L’Aneto et ses 3404m d’altitude est bien masqué !

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Zoom sur le village de Boutx à nos pieds.

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La vallée avec un léger voile.

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Le Besiberri Nord (3008m) lui est bien visible.

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Le Pic du Gar (1795m).

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Le Cagire (1912m) qui est beaucoup plus joli à faire en hiver.

Idem pour le Burat comme pour le Bacanère que j’ai déjà gravi en hiver, ils sont beaucoup plus jolis à faire l’hiver que l’été.

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Françoise et Mariano.

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Les 2 jeunes de Toulouse qui sont arrivés juste avant nous au sommet du Burat.

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Le retour:

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Par le col d’Esclot d’Aou (2093m) et la cabane de Salode (1550m).

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Les chevaux sont toujours là, juste en-dessous du sommet.

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Un jeune poulain.

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La descente ne présente pas de difficulté,

descendre par la gauche, juste avant le petit sommet au col d’Esclot d’Aou (GR10), puis plonger dans le vallon.

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Nous concernant, nous grimpons sur ce petit sommet.

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Voilà le vallon qu’il faut descendre en suivant le GR10 si vous êtes passé par le col.

Ne continuez pas sur la crête, sinon vous allez vous retrouver au sommet du Bacanère !

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Nous concernant et pour ne pas changer nos habitudes depuis ce matin,

nous descendons directement par le versant Sud.

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On peut descendre un peu partout sans grand danger en l’absence d’humidité.

En cas de pluie, redescendre par le GR10, c’est plus prudent.

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Quitter le GR10 vers 1980m et descendre vers la cabane de Mouscade sans y aller.

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Couper tous les lacets de la piste (Nord-Ouest).

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Une harde d’Isards (19 au total) !

Mes amis n’ont pas eu le reflexe de se cacher à la vue du premier isard, dommage car j’aurai pu faire de jolies photos, bien plus belles que celle-ci.

Ils garderont leurs distances de sécurité, environ 150m ce qui est un peu juste avec un 200mm.

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Françoise qui rigole encore des Isards,

je lui ai dit de s’abaisser à la vue de ceux-ci, mais elle ne comprenait pas pourquoi, maintenant elle sait !

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La cabane de Salode (1550m).

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Suivre la piste herbeuse descendant vers l’Ouest.

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Petite halte pour un rafraîchissement bien mérité avec cette chaleur accablante.

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Vers 1435m, suivre la petite piste descendant au village de Gouaux-de-Luchon.

(compter 30 minutes au lieu des 40mn sur le panneau)

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Retour au village de Gouaux de Luchon (940m) compter 2h30 pour la descente depuis le sommet.

Merci Françoise et Serge pour cette belle balade dans le Luchonnais.