Randonnée Vignemale (Pique Longue) 3298m
La Pique Longue, plus haut sommet des Pyrénées françaises (3298m) depuis le barrage d’Ossoue.
- Aller-retour au Grand Vignemale: +1680m – (6h00+5h00) 11h00 – 18km – Niveau: Montagnard
- Montée au refuge de Bayssellance: +970m/-60m – 3h30 – 7 km Niv: Randonneur
- Ascension de la Pique Longue depuis le refuge: +780m/-130m – 3h30 – 3,6 km Niv: Montagnard
- Le retour depuis le Vignemale: +60m/-1620m – 5h00 – 9,2 km Niv: Montagnard
- Date: le 17.06.2012 – Hautes-Pyrénées – Départ: 1,2km avant le barrage d’Ossoue (1730m)
- Ascension du Grand Vignemale en 2024
- Album photos de la sortie en 2024 avec bivouac au refuge.
- Ascension faite en 2012 avec les APNP depuis le barrage d’Ossoue
- Ascension du Petit Vignemale (3032m) avec les APNP
- Ascension faite en 2015 depuis le Pont d’Espagne
- Bivouac au sommet de la Pic Longue
S’il y a bien un lieu dans les Pyrénées françaises où l’on ne voudrait jamais redescendre, c’est bien le Vignemale, la Pique Longue qui est le point culminant des Pyrénées françaises avec ses 3298m d’altitude est le maître de ces lieux. C’est aussi le 16e plus haut sommet de toute la chaîne des Pyrénées selon la liste officielle des 212 pics à plus de 3000m pyrénéens.
Randonnée sur deux jours faite avec les APNP (1er jour: Petit Vignemale)
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Fantastique éventail de murailles, le Vignemale est certainement l’une des plus belles montagnes des Pyrénées, sa voie normale, facile quand les conditions sont favorables comme aujourd’hui, consiste à remonter les 1,7km de glacier, puis pour terminer, gravir le long couloir accédant à la Pique Longue, le Grand Vignemale domine une demi-douzaine de 3000m autour du glacier.
Difficultés:
Course de haute montagne, sur glacier, demandant un équipement sérieux (corde, piolet, crampons) pas de difficulté sérieuse quand les conditions sont favorables, en particulier quand le glacier est bien enneigé donc non crevassé comme aujourd’hui.
Information importante de la part des guides de haute montagne (août 2023):
Nous constatons régulièrement là-bas, un bon nombre de randonneurs peu informés et peu équipés. Ils gravissent souvent les rochers rouges très facturés et propices aux chutes de pierres. Avec le recul du glacier, les premières dalles sont elles aussi plus compliquées. Il nous paraît important de communiquer et de prendre notre rôle d’éducateur et de formateur au « bonne » pratique en montagne. Notre objectif n’est pas de faire la morale ou de dire comment faire. Mais cela nous paraît important d’aider les montagnards à gravir cette montagne le plus en sécurité possible.
Nouvel itinéraire de l’ascension finale de la Pique Longue (Vignemale)
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Après une nuit au refuge de Bayssellance 2651m, départ à 6h20 du matin pour le plus haut sommet des Pyrénées françaises.
Voir la montée jusqu’au refuge depuis le Barrage d’Ossoue
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Le soleil va bientôt éclairer les balcons de Gavarnie.
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C’est parti !
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Jean-Luc parti ce matin vers 4h30 du barrage d’Ossoue (2h de montée) nous rejoint pour l’ascension.
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Les premiers rayons de soleil commencent à illuminer le Petit et Grand Vignemale.
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Puis le cirque de Gavarnie
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Des Astazou au Taillon.
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Depuis le refuge de Bayssellance, descendre le sentier vers le Sud-Est pendant une dizaine de minutes.
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Vue sur le début du glacier.
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L’aspect du glacier varie selon les saisons et les années, aujourd’hui les conditions sont parfaites !
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Le soleil se lève sur Gavarnie.
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Abandonner le sentier qui descend au barrage d’Ossoue vers 2520m pour prendre le sentier de droite.
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Une sente qui ondule plus ou moins horizontalement sur des éboulis ou névés selon la saison.
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Magnifique spectacle du côté des Astazou et du Marboré !
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L’Escuzana 2847m.
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Fin des éboulis.
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Petit névé à passer avant d’attaquer le glacier.
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Le pic Montferrat 3219m.
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Altitude 2720m (35min depuis le refuge), nous nous arrêtons au début du glacier pour chausser nos crampons.
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Normalement l’encordement est de rigueur, nous avions préparé les cordes au refuge dans le cas où . . .
mais aujourd’hui les conditions sont parfaites et les cordes resteront dans le sac à dos.
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On n’est jamais tout seul sur le glacier, il est 6h55 du matin et il y a déjà du monde devant nous !
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La première partie du glacier est assez raide, mais ne pose pas de problèmes particuliers en début d’été.
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Le Vignemale est un sommet mythique comme l’Aneto, il est très rare de se retrouver seul sur la pente.
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La première partie raide du glacier est terminée.
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La pente se redresse un peu.
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Petite pause pour ces dames.
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Panorama sur Gavarnie, des Astazou (3071m) au Taillon (3144m)
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Nous continuons à gravir les 1,7 km de glacier.
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Aucune crevasse de visible, les conditions sur le glacier sont extrêmement favorables.
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Le Petit Vignemale 3032m que nous avons gravi hier après-midi.
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Altitude 3000m, la Pique Longue commence à se dévoiler devant nous.
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Jean-Luc a 2h de marche de plus que nous, il a démarré ce matin vers 4h30 depuis le barrage d’Ossoue.
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Après 1h de marche sur le glacier, nous pouvons voir la base du couloir nous menant à la Pique Longue.
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Le glacier d’Ossoue avec au fond à droite le col de Cerbillona (3195m).
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Les grottes du Cerbillona : de gauche à droite, grotte des Guides, villa Russell, grotte des Dames.
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Le comte Russell y fit creuser sept grottes. Le travail s’étale de 1881 à 1893. Un forgeron de Gèdre installe au col de Cerbillonna une forge de fortune pour réparer les outils.
Le 1er août 1882, la première grotte est achevée; c’est la villa Russell située à 3205m d’altitude au col de Cerbillonna (3 m de long, 2.5 m de large et 2 m de haut.) Russell habite sa grotte pendant trois jours. Le 12 août 1884, il la fait bénir ainsi que le Vignemale. Trois messes sont célébrées devant une assistance d’une trentaine de personnes.
En 1885, il fait creuser la seconde grotte (celle des guides) puis en 1886 la troisième; celle des dames.
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Avant d’attaquer l’ultime montée, nous allons faire un petit tour au couloir de Gaube.
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Les derniers mètres du glacier.
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Le groupe des APNP s’arrête devant le couloir de Gaube.
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Magnifique !
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Le couloir de Gaube est la faille profonde qui divise la face nord du massif du Vignemale.
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Pas de difficulté pour y descendre, mais ne pas aller plus loin !
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Le couloir de Gaube est une fascinante et provocante cheminée de neige et de glace, ouverte dans la paroi nord du Vignemale, vertigineux et haut de 600 mètres.
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Nous reprenons place sur le glacier pour accéder rapidement à la base du couloir.
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Mariano
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Il est possible de monter à gauche dans le couloir de neige,
c’est beaucoup plus raide, mais vous serez tranquille au niveau des cailloux.
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Base du couloir altitude 3200m (2h35 depuis le refuge de Bayssellance).
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Nous laissons sacs et crampons à la base de la Pique Longue.
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Attention !
Ne restez pas en plein milieu du couloir, c’est beaucoup trop dangereux, surtout lorsqu’il y a du monde, des cailloux voire des blocs peuvent descendre.
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On gravit la pente finale plus ou moins directement vers le sommet,
en escaladant facilement (Niv II) avec des rochers parfois croulants.
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Si vous n’avez pas de casque, préférer la montée côté gauche.
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Vue derrière nous sur le glacier, superbe !
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En route pour le plus haut sommet des Pyrénées françaises.
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Panorama vers le col de Cerbillona (3195m)
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L’ascension ne pose aucun problème avec les nombreuses prises qu’il y a tout au long de la montée.
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Vue plongeante sur le bas du couloir.
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Beaucoup de photos sur ce topo !
Mais le Vignemale ne se fera pas tous les ans, et les conditions la prochaine fois ne seront peut-être pas aussi optimales qu’aujourd’hui.
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Vue sur les grottes de Cerbillona.
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Le sommet n’est plus très loin.
La grotte du Paradis où nous irons faire un petit tour à la descente et qui n’est pas si évidente à trouver.
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Le glacier d’Ossoue.
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Laure, toujours le sourire.
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Plus que quelques mètres pour Laure, Monique, Jackie et Brigitte.
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Vue sur la vallée d’Ossoue.
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Panorama juste quelques mètres avant le sommet.
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C’est impressionnant !
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Mais pas de difficulté particulière.
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Splendide !
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Nous y sommes presque.
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Sommet de la Pique Longue altitude 3298m.
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Il est 9h20 du matin et nous avons mis 3h depuis le refuge de Baysselance (pauses comprises).
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Le groupe des APNP au sommet du Vignemale: Jackie, Florinda, Monique, Hubert, Jean-Claude
Marie-Claude, Geneviève, Laurent, Brigitte et au premier rang: Delphine, Mariano, Laure et Jean-Luc.
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Panorama immense sur 360°
Jean-Luc a eu la très bonne idée d’emporter dans son sac une bouteille de champagne !
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Attention.
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On peut même voir le bouchon ! (Ce n’est pas un montage)
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En plus c’est du bon ! ! !
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N’est-ce pas Jackie.
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Panorama tous azimuts.
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Panorama vers Gavarnie.
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Le glacier.
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Panorama sur le glacier d’Ossoue.
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Panorama vers la Tendeñera 2853m et Peña de Sabocos 2757m avec au premier plan:
le pic Central 3253m à gauche et le pic Cerbillona 3247m.
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Panorama vers les pics d’Enfer 3082m.
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Panorama du pic d’Ossau 2884m au Monné de Cauterets 2724m.
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Il est possible de descendre sur un second sommet qui est juste en dessous de la Pique Longue pour
y voir les vues vertigineuses sur le couloir de Gaube et sa vallée.
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1100m plus bas !
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Refuge des Oulettes de Gaube.
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Zoom sur le refuge des Oulettes.
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Delphine et Laure.
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Vue sur la Pique Longue.
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Le pic du Midi de Bigorre (2872m).
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Mer de nuages sur la plaine.
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Versant Nord du Vignemale, il y a du Gaz ! ! !
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La Telera 2764m avec au premier plan le Clot de la Hount 3289m.
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La Collarada 2886m et Pala de IP 2783m.
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Les pics d’Enfer 3082m.
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Pics d’Enfer 3082m et pic du Midi d’Ossau 2884m.
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Le Jean-Pierre 2884m.
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La Grande Fache 3005m.
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Le Balaïtous 3144m.
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Le pic Long 3192m.
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Pic du Marboré 3248m, Cylindre 3335m et Mont Perdu 3355m.
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Départ de notre randonnée (1730m), 1,3km avant le barrage d’Ossoue 1834m.
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Deux randonneurs sur le glacier d’Ossoue.
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Le Taillon 3144m avec au premier plan le pic Montferrat 3150m.
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La belle vallée de Gaube.
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Le lac de Gaube 1725m.
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Itinéraire de montée au col de la Hourquette d’Ossoue depuis le refuge des Oulettes de Gaube (2151m)
+600m de dénivelé qui s’avalent très facilement.
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Le Petit Vignemale 3032m avec à sa droite le Piton Carré 3197m, voie qui a été ouverte par un espagnol il y a déjà quelques années en arrière en 1954 exactement et que nous avons rencontré par hasard il y a 15 jours au Picos d’Europa, que le monde est petit ! malheureusement je n’ai pas retenu son nom, mais avec les trophées, les sommets à plus de 8000m, l’Everest et les photos qu’il nous a montrés, nul doute qu’il disait vrai.
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Vue sur le col de la Hourquette 2734m
et le refuge de Bayssellance 2651m (plus haut sommet gardé des Pyrénées).
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Zoom sur le refuge de Bayssellance 2651m.
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Panorama vers le pic de Ger 2613m et le Grand Gabizos 2692m.
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Panorama vers le Grand et Petit Gabizos.
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Panorama vers le Sud-Ouest
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Camino del Puerto de los Mulos
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Lac du col d’Arratille 2501m.
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Panorama vers le Sud-Est.
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Le cirque de Gavarnie avec comme point culminant le Mont Perdu 3355m.
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Panorama vers le Nord-N.E
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Panorama de la Peña Sabocos 2757m aux pics d’Enfer 3082m.
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Nous ne sommes restés que 35min au sommet, mais en groupe il faut savoir respecter les timings. Je rassure les personnes du groupe des APNP, elles auront comme souvenir un DVD avec plus de 3000 photos, de quoi revivre cette belle randonnée mètre par mètre, et oui vous avez bien entendu, exactement 3300 photos (2 de moins que les 3298m du Vignemale) record battu !
Pour ceux qui veulent y passer la nuit, c’est ici: Lien du Topo par la vallée de Gaube
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Retour par le même itinéraire que ce matin avec un petit crochet par la grotte Paradis qui se trouve 18m en dessous de la Pique Longue
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Pas évidente à trouver !
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Après quelques hésitations, nous arrivons finalement à la localiser.
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C’est Ici.
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Le destin du comte Russell est lié au Vignemale où il monte pour la première fois le 14 septembre 1861 avec le guide Laurent Passet.
La dernière grotte de Russell (grotte Paradis) voit le jour en 1893, 18m en dessous du sommet.
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Le 5 décembre 1888, il demande au préfet des Hautes-Pyrénées de lui accorder la concession du Vignemale (200 ha entre 2300 et 3300m). La location annuelle est fixée à 1 franc sur 99 ans et débute en janvier 1989. Il fera ériger au sommet une tour de pierre de trois mètres de haut pour lui faire dépasser symboliquement la barre des 3.300 mètres.
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Il montera pour la trente-troisième et dernière fois au sommet de son cher Vignemale le 08 août 1904.
Il meurt à Biarritz en 1909 (lire sa Biographie)
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C’est sûr que la prochaine fois que je reviendrai au Vignemale, je passerai la nuit dans cette fameuse grotte et j’aurais peut-être le privilège d’assister à un super coucher et lever de soleil. Une pensée à André (mon ami radio amateur) qui normalement a passé la nuit dernière (le 26/06/2012) à l’intérieur de cette grotte.
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Depuis la grotte Paradis, nous traversons sur une quarantaine de mètres pour récupérer l’itinéraire de ce matin qui est beaucoup plus sécurisant au niveau des chutes de pierres.
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Si vous restez sur le semblant de sentier, voilà ce qu’il y a: gravillons, pierres et forcément des risques de glissades avec un danger pour les autres randonneurs se trouvant plus bas.
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Alors que de ce côté-là, pas de gravillons, mais des bonnes prises pour une descente sans problème.
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Base du couloir où nous avons laissé nos affaires (3200m).
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Nous retrouvons nos affaires bien protégées contre la paroi.
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Rappel très important:
Comme à l’aller des randonneurs ont fait partir des pierres dans l’axe du couloir, mais cette fois-ci c’était un rocher !, heureusement que la randonneuse qui n’était pas de notre groupe s’est déplacée au dernier moment pour éviter le rocher qui arrivait droit sur elle !
Soyez donc très vigilants au niveau de la base du couloir, en mettant vos affaires contre la paroi à droite ou à gauche de l’axe du couloir, et n’oubliez pas de gravir le large couloir par sa gauche.
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Le glacier que nous allons refaire dans le sens inverse.
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Le Mont Perdu 3355m.
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Zoom sur le couloir du Mont Perdu,
on voit bien les deux groupes de randonneurs qui montent au sommet avec ceux qui y sont déjà.
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Zoom sur la fin de la partie douce du glacier.
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Le col de Cerbillona 3195m avec les trois grottes de Russell.
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Le pic Central 3235m et le pic de Cerbillona 3247m.
(sommets de plus de 3000m que l’on peut faire sans difficulté particulière)
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Nous avons rechaussé les crampons pour la descente du glacier.
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Hubert fait la luge !
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Superbe panorama sur le glacier d’Ossoue.
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Nous faisons encore une petite visite au couloir de Gaube avec le Piton Carré 3197m.
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Cette brèche est superbe !
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Et avec le ciel bleu, c’est encore plus beau !
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Il ne reste plus qu’à descendre le glacier en suivant les traces faites par des centaines de randonneurs.
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Une vue sur le refuge de Bayssellance 2651m.
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Le Petit Vignemale 3032m que l’on a fait hier.
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Superbe paysage en descendant le glacier avec le pic de Labas 2946m à gauche et à sa droite le col des Gentianes (2729m) où la vue sur le glacier d’Ossoue est tout simplement fantastique (voir Ici).
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Le glacier dans sa partie la plus abrupte.
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Altitude 2880m, presque à la fin du glacier, pause bien méritée pour un bon casse-croûte même s’il n’est que 11h24 du matin, mais n’oublions pas que nous nous sommes levés à 5h30 et que la nuit a été courte en sommeil.
45min pour traverser le glacier depuis la base du couloir.
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Bon appétit Mesdames.
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Après 50 minutes de pause, nous reprenons notre chemin.
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C’est la fin du glacier avec une pente douce.
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Jean-Claude.
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Nous avons pris une variante qui est parallèle à celle de ce matin (environ 100m).
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Altitude 2560m avec une vue sur le barrage d’Ossoue. Prévoyez 2h30 jusqu’au barrage et 3h jusqu’à la voiture.
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Jonction des sentiers altitude 2460m.
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La grotte Bellevue 2420m.
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Certains étés, le glacier recouvrant les 3 grottes de Cerbillona, trois autres seront creusées 800 m plus bas à la base du glacier (2420m) dont celle-ci: la grotte Bellevue.
Le comte Russell y organise des réceptions somptueuses et légendaires, recevant princes et rois sur un tapis rouge qu’ il fait déployer dans la neige.
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Depuis la grotte, suivre le sentier jusqu’au barrage d’Ossoue.
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Des isards.
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Gentiane de Koch
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Altitude 2294m,
jonction avec le sentier qui mène au lac des Gentianes, prendre à gauche pour le barrage d’Ossoue.
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Tout en marchant sur le sentier, superbe vue sur Gavarnie et sa fameuse Brèche de Roland 2807m.
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De très belles cascades tout le long du sentier.
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Revoilà nos marmottes.
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Toujours aux aguets.
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Gentiane printanière.
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Nous arrivons aux Oulettes d’Ossoue altitude 1900m.
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Petite pause de 15min au pont du ruisseau des Oulettes.
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Laure, Delphine et Hubert.
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Bizarre vous ne trouvez pas !
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Barrage d’Ossoue altitude 1834m, 5h20 depuis le sommet (pause comprise de 1h)
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Quant à nous, il nous reste encore 25min pour retrouver nos voitures.
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Encore des marmottes, mais cette fois-ci c’est pour notre ami Jean-Claude qui les adore !
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Vue derrière nous sur le seigneur des Pyrénées françaises, c’est sûr que nous reviendrons, c’était trop beau !
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5h50 depuis le sommet de la Pique Longue en comptant environ 1h15 d’arrêts.
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Un sommet prestigieux et quasi mythique, très riche en histoire, c’est le plus haut pic des Pyrénées françaises qui de plus est rehaussé d’un glacier. Un lieu magique à visiter absolument en prenant les précautions décrites dans ce topo.
Comme pour le Balaïtous, les couleurs et les lumières de cette randonnée resteront longtemps gravées au plus profond de moi !
Merci à toute l’équipe des APNP pour votre bonne humeur tout au long de ces deux jours avec un grand merci à Laurent qui a organisé cette sortie mémorable !
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La Vidéo
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Lien du coucher de soleil du 1er soir à la Hourquette (2800m)
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Lien 1er jour au petit Vignemale (3032m)
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Lien vers mon bivouac au Vignemale fait au mois de mai 2015
Bonjour Mariano,
Nous sommes arrivé au sommet du grand Vignemale; et ce garce a vos conseils lors de notre rencontre fortuite au refuge. Encore merci pour tout, ce fut un grand plaisir de vous rencontrer. Vous avez rendu possible le rêve d’un jeune bonhomme mordu de montagne.
Bonjour Mariano,
le 22 aout si les conditions le permettent, j’envisage l’ascension du Vignemale par le glacier d’ossoue en partant du refuge des oulettes. Cette expérience de glacier est pour moi (et la personne qui m’accompagne), la première !
Je me fais une idée de ce glacier, une image assez pacifique mais je sais qu’il ne faut jamais sous estimer la montagne. Ai-je tort ?
Je ne compte pas m’aventurer du coté des crevasses mais simplement tracer au milieu du glacier en évitent les situations dangereuses, jusqu’à la pic longue avec comme matériels des crampons adéquates et deux bâtons de marche.
Le piolet est-il indispensable sachant que je ne m’en suis jamais servi ? Je sais qu’il est source de blessures parfois grave en cas de chute.
Voilà j’ai quelques appréhensions que je pense légitime ou peut-être que je surestime ce glacier malgré son apparence débonnaire.
Bonne soirée
Le piolet est indispensable si vous utiliser les crampons pour vous arrêter.
Le glacier sera en glace vive et oui il faut les crampons et le piolet. La pente n’est pas très raide et vous aurez le temps d’utiliser le piolet si vous glissez, alors que si vous glissez sans avoir le piolet en main, vous ne pourrez pas vous arrêter avec les conséquences de vous arreter 500m plus bas!
Le plus important, dès l’arrivée au pied de la montée finale, protégez-vous contre les rochers et mettre le casque, les randonneurs dans le couloir peuvent vous envoyer des gros blocs, c’est déjà arrivé.
Bonne randonnée.
Bonjour Mariano. Merci pour ce topo magnifique ( a remettre au goût du jour 😉 ) 10 ans plus tard les grottes du haut sont absoluement inaccessibles. Nous mettons 1:30 pour arriver au début du glacier.
La brèche de gaube est accessible désormais en montant et le début du couloir est 100/150m plus bas et très très mal indiqué. ( pas indiqué en fait )
Ceci étant dit c’est toujours aussi beau 🙂
Bonjour Mariano, Bien longtemps que je ne vous ai pas laissé un commentaire. votre site en était à ses débuts. En cette période de réclusion forcée, c’est bien agréable de pouvoir faire ou refaire des randonnées avec vous. Vous nous offrez cette possibilité et pour cela un grand Merci. Pour la précision de vos commentaires, vos conseils précis et précieux aussi. Et pour la qualité extraordinaire de vos photos bien sûr. Les sentiers de montagne me manquent terriblement…..
Superbe cadeau que vous nous offrez et quel travail . Merci
Hola Mariano. Me ha gustado una foto tuya para ponerla en la oficina. Quisiera saber si puedo comprarla y cual es su coto.
Gracias!
Bonjour Mariano. J’ai aimé une image pour l’amener dans le bureau. Je me demande si je peux l’acheter
Merci!
Depuis Newport (Wales)
Grand moment de nostalgie pyrénéenne durant notre veillée d’armes, avant de défier les All Blacks, après demain à Cardiff.
Merci de m’avoir procuré un superbe « flash back » en ravivant les souvenirs de nos ascensions passées (Balaïtous, Pique Longue ..), en compagnie d’amis disparus.
Superbe montage, BRAVO !
Antoine Marin
Bonjour Mariano, merci encore pour ce topo parfait une fois de plus ! Tres belle rando en effet avec panaorama superbe (quand dégagé), partie sur glacier assez technique par endroit, bien sélectionner les zones de passage sur glace ! en tout cas, parcours à faire ! (attention aux voitures à l’approche du barrage, route très défoncée, conseil pour le dernier kilomètre à faire à pied…)
Magnifique film!!
Je crois que j’ai trouvé ma destination Summer 2015 !! Merci pour ces clichés qui sont une pure merveille !!
Bonjour à tous. Je suis en train de lire « les souvenirs d’un pyrénéiste » (Comte RUSSEL)et je n’arrivais pas à me faire une réelle idée des grottes que RUSSEL avait faites construire, maintenant c’est fait et gràce à vous ! On voit bien que le glacier fond puisque les trois grottes ne sont pas atteignables, peut-être le sont-elles en hiver quand il y a beaucoup de neige… ? Encore merci.
Merci ,toujours de merveilleuses randonnees ,un enorme plaisir a vous lire ainsi qu’a regarder vos tres belles photos ,nous ,grace a vous nous avons fait le mont perdu et les alentours cet été 2012,nous prévoyons pour 2013 ,vire de l’escuzana+ vire fleurs+ pic long +terrasse pinetta et lac marbore,tout cela en bivouac.nous ne sommes plus tres jeunes « 54ans » mais le bivouac est un reel plaisir .
Avant-hier, j’ai fait pour la troisième fois cette montée: quelle triste surprise! le glacier fond d’année en année à vue d’oeil! (Et je fais toujours cette rando dans la première quinzaine d’aout)
Nous sommes partis de nuit des grottes de Bellevue pour commencer le glacier aux premiers rayons, et arrivée là où il devait débuter, je ne reconnaissais plus les lieux: normal, il a reculé d’une cinquantaine de mètres (entre le 2-08-2008 et le 14-08-2012)! Au lieu de débuter l’ascension du glacier par une première partie raide, nous grimpons des rochers, striés verticalement par le glacier qui « autrefois » était la.
Les crevasses sont donc fort visibles, les ponts de neige sont tres minces, et dans la cordée précédente, deux se sont enfoncés jusqu’à la taille dans un pont de neige.
La montée reste tout de meme un vrai plaisir, l’ambiance entre alpinistes est géniale, et la vue du sommet est une merveille!
Et…J’aime le commentaire de Laure…
Ah… si je pouvais habiter par là bas…
Souvenirs…
J’ai fait 3 fois le Vignemale, la dernière en 1981, où j’avais emmenée 3 amies. Tu fais bien de dire de faire attention aux pierres! A la descente du sommet (et…il n’y avait pas tant de monde à l’époque que sur tes photos!!), des espagnols au dessus ont fait partir des bouts de rocher dont l’un a attéri sur la hanche de l’une de mes amies. Hélico…Secours par les gendarmes de haute montagne de Luz…Je n’ai jamais descendue aussi vite après!
Tes photos sont toujours ausi sublimes! celles du petit matin sont superbes!
Magnifique , grandiose , fantastique . Décor exceptionnel , photos merveilleuses et super commentaires merci Mariano . C’est presque aussi beau que la Savoie ! enfin je veux dire …lol
Encore du réve sur Internet. Trés belles photos et sans doute une excellente sortie pour tous. Chapeau. DENIS
je reviens d’une randonnée de deux jours sur le massif du vignemale a partir du pont d’espagne.Effectivement des milliers de souvenirs de cette fabuleuse balade sur le plus haut sommet franco espagnol. MERCI a vous mariano pour les infos sur la rando
encore une fois Mariano tu m’as transportéé à domicile au sommet du Vignemale sans me fatiguer ! les derniers mètres sont assez raides quand même mais la beauté de la vue est exceptionnelle….et que dire de ce glacier qui ds qlq années n’existera plus!merci pour cette balade si féerique et bravo à toute ton équipe….@+
Quel régal que de gravir ce sommet et quelle chance de le faire avec une si joyeuse équipe ! Ce reportage est une véritable invitation au voyage pour les montagnards amoureux des Pyrénées. Merci à tous.
Amicalement,
Monique
Depuis que j’entends parlé du vignemal et que j’ai lu des articles de l’époque Russel et bien merci M Mariano pour toutes ces belles photos de cette ascension que je vais conserver afin de les revoir a volonté.
Mon niveau de randonneur est en dessous
Un grand merci pour cet belle rando avec en prime un temps splendide
Bien amicalement M Mariano et bonne continuation pour tous
Liliane
Bravo Mariano c’est une randonnée inoubliable ,et cette neige
qui ce trouve encore sur les montagnes ,mais le plus beau
c’est vos photos elles sont d’une pureter qu’on s’y croirais
grimpant les montagnes ,j’ai déjà vu des superbes randonnée mais celle-là, en un mot c’est magnifique !
encore bravo et Merci à vous Mariano
Bravo pour m’avoir fai partager avec tout votre groupe
marie-roddeux magnifiques journées! et encore merci pour vos envois chaque semaine! Marie-Rose
Superbes photos pour une très belle ascension!!!
A faire et à refaire.
Je me trompe ou dimanche es tu au pic d’Ardiden?
Bonjour mariano surper les photos des pyrénées elles sont toutes belles, la neige fond
magnifique , gigantesque ce Vignemale !
Nous n’ oublierons jamais ce Dimanche 17 Juin 2012 quand nous avons ,humblement mais avec fierte , mis nos pas dans ceux de Russel.
Merci pour cet emouvant reportage – souvenir.
Waaouououhhhhh!!Splendide,fantastique,magique…Inoubliable!!!Cher Mariano tes clichés définissent parfaitement la Beauté de nos si belles Pyrénées…tu as bien fait de descendre de ta Lorraine pour nous rappeler à quel point on est chanceux de vivre ici!!!! je suis ravie d’avoir pu partager ces moments avec toi et le groupe et comme dit la chanson « Montagnes Pyrénées,Vous êtes mes Amours….!!!! » Laure
Bonjour Mariano
Le 14 Septembre 1861 Henry Russell le seigneur des Pyrénées arriva en haut du Vignemale.
Le 17 Juin 2012 c’est au tour de Mariano de gravir le plus haut sommet des Pyrénées française.
Le champagne devait être très bon et toute l’équipe des Amis du parc national des Pyrénées ont du l’apprécier.
Très bon reportage avec toujours de très belles photos.
Amitiés
Laurent